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E. do REGO

IL EXISTE MILLE MANIERES DE MENTIR, MAIS UNE SEULE DE DIRE LA VERITE.

Le Mensonge peut courir un an, la vérité le rattrape en un jour, dit le sage Haoussa .

Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.










Monday, February 01, 2010

Au mépris du droit. 1947-2009 : une impunité qui perdure :Résolutions de l’Onu non respectées par Israël






Résolutions de l’Onu non respectées par Israël
Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)

Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.

Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins »  ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.

Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).

Conseil de sécurité

Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.

Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.

Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.

Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».

Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.

Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.

Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».

Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.

Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.

Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.

Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.

Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».

Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.

Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.

Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.

Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.

Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées - le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.

Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.

Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.

Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.

Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.

Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.

Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.

Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.

Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».

Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».

Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».

Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.

Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».

Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».

Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.


les commentaires
34 résolutions de l'ONU bafouées par Israel de 1947 à maintenant. source :http://www.monde- diplomatique.fr/2009/02/A/16775 Le rappeler relève bien sûr de l'antisémitisme. Je n'en rajoute pas. Tout a été dit par les abonnés du Monde.
Utiliser la notion d'antisémitisme à des fins politiciennes, c'est tout simplement la vider de toute portée. A force, qui continuera à pouvoir l'entendre ? Faire l'amalgame entre le rapport Goldstone et un obscur article dont personne ne sait rien, ce n'est pas discréditer le rapport mais discréditer son propre discours. Tout cela est consternant.
ce qui a changé dans l'etat d'israel dont l'origine est mythologique, mais quelle nation n'a pas sa mythologie c'est la trahison de la parole de ses fondateurs. l'idéal laic a sombré sous le coup de l'obscurantisme des orthodoxes.Le fanatisme des colons est plus dangereux que le fanatisme des islamistes car il a la puissance militaire. on regretterait presque que l'iran n'ait pas l'arme nucleaire pour equilibrer cette region
Il y a tout de même un moment où invoquer l'antisémitisme, c'est comme dire que Sarkozy va renverser la démocratie. C'est pratique, mais ça n'a aucun lien avec la réalité.
Il ne reste qu'à relire ce qu'a écrit Hannah Arendt sur le sionisme, la création d"Israël et les hommes qui l'ont conduite, comme Ben Gourion et son secrétaire Gruenbaum. Pour faire vite lisez le livre de Laure Adler sur Annah Arendt chapitre 8 et 9. Et lisez Shlomo Sand "Comment le peuple juif fut inventé". Cela nous montre que le sionisme n'est qu'un nationalisme mené par des hommes pour qui la justice ne fonde pas leur principe de vie.
Un lecteur signant "un mot de vérité", seul défenseur à ce moment de la position israélienne, cite le site www.désinfos.com, instrument de propagande israélienne, David Zangen (médecin mobilisé par l'armée) et le juriste David Ruzié qui défend la théorie de la légitime défense d'Israël et nie les droits des habitants de Gaza. Mais il oublie que Israël a bloqué toute l'enquête. De ceux que Letty Pogrebin désigne comme "Jews in the Israel-right-or-wrong mafia".
"vous êtes antisémite" ne veut maintenant plus rien dire... une expression de même sens serait "je ne suis pas d'accord avec vous". C'est en tous cas ainsi qu'elle est maintenant employée.
Israël est-il capable de construire la paix? De reconnaître l'autre comme son égal? Installer un état de fait unilatéralement, le bâtir sur la terreur et ensuite traiter d'antisémite toute personne qui critique ses agissements, en particulier quand ils atteignent l'horreur absolue, comme à Gaza l'an dernier, c'est ridicule.
"Antisemitisme" ne veut plus rien dire. L'auteur du rapport est... juif lui-même. Accuser un juif d'être antisémite devient complètement pathétique et montre la dérive dans le non sens de cette expression fourre-tout. L'état d'Israël est un petit état raciste qui n'arrive même plus à se défendre par le bon sens.
Il est quand même rassurant de lire les réactions unanimes des lecteurs du Monde: le coup de l'antisemitisme ne marche plus!!!

"Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l'antisémitisme se focalise non sur les juifs mais sur Israël et les Israéliens", ça va faire plaisir aux juifs vivant, en France par exemple, qui se font traite r de "sale juif!". Décidément la bêtise ne connaît pas de frontière, ni d'ailleurs de religion.
J'ai fait un rêve .... Les israéliens sont devenus raisonnables .....
Celà devient de plus en plus virulent. Bien pratique, ce système qui permet d'assimiler l'anti-sémitisme (quasi universellemnt condamné) à l'anti-sionisme, qui condamne les politiques suivies par l'Etat d'Israël et qui, lui,a tendance à se généraliser. On peut être violemment contre la politique de Sarkozy sans pour celà être un furieux anti-français.
je vous recommande un petit livre "la guerre israélienne de l'information" , qui montre un peu comment le gouvernement israélien organise sa propagande, et manipule l'information, les journalistes et les lecteurs; ça s'appelle de la propagande, et confine quelquefois au terrorisme intellectuel; bon ce ne sont pas les seuls, ne soyons pas naïfs
Tout le monde devrait se souvenir de la fable du berger et du loup: 'A force de crier au loup..".
C'est invraisemblable, mais dès qu'une voix s'élève pour contester la politique de l'état d'Israël, elle est aussitôt taxée d'antisémitisme et on appelle la Shoah à la rescousse. L'antisémitisme est un racisme équivalent aux autres, équivalent à celui dont sont victimes les Palestiniens des territoires. Vous avez dit miroir? Que ces dirigeants colonialistes réfléchissent bien au fait qu'ils pourraient être un jour traduits devant la cour pénale internationale.
Israël et ses suppôts (CRIF, AIPAC,...) comptabilisent désormais comme antisémite toute critique de la politique coloniale de l'état d'Israël. A force de crier "Au loup !", plus personne ne les croit. En quelque sorte, l'antisémitisme est mort avec la création de l'état d'Israël
L'insigne faiblesse de l'argumentation du ministre est révélatrice du sérieux contenu du rapport Goldstone qui décrit bien ce qui s'est passé. Evitons de faire de la Shoah un fonds de commerce. L'évènement est trop grave!
Quel que soient les reproches, l'argument de l'antisémitisme (ailleurs = crime contre le peuple, la nation, etc..) est brandi comme accusation définitive. Mais la trahison avérée, c'est justement l'utilisation de la mémoire de crimes passés pour justifier un comportement de colon raciste, ayant usurpé la terre des autres et tentant de le justifier par une propagande, certes élaborée, mais surtout raciste et malhonnête.
si les israeiliens se comportaient en nation civilisée & reconnaissant que la Shoah ait été reconnue, ils libererait la PALESTINE & cesseraient d'opprimer les Palestiniesn !!!

Ben voyons, comme d'habitude, critiquer les crimes d'Israël, c'est de l'antisémitisme ! Ou comment prendre les membres de la communauté internationale pour des imbéciles. Trop, c'est trop !
Sur le fond, on est d'accords, on ne peut plus faire de critique contre la politique menée par Israël (donc de "l'anti-israelisme ") sans être immédiatement taxé d'antisémitisme (ce qui n'est pas la même chose). Le gouvernement israélien a beau jeu de jouer là-dessus pour éliminer toute forme de critique à son endroit.
Bien vu et bien dit. La critique, quelle qu'elle soit, d'Israël est donc de l'antisémitisme. Un État de droit se grandit à reconnaitre l'injustifiable et à le sanctionner publiquement, mais Israël ne peut être concerné. Dire le contraire est de l'antisémitisme qui vous rend moralement complice de la Shoah. Nier l'évidence ne manifeste que l'enfermement intellectuel de ce ministre. Quant aux"erreurs individuelles" ou "conduites inadéquates", qu'en termes galants ces choses sont dites...
Et ça continue. Toute critique d'Israël est "antisémite". Le sophisme est clairement énoncé. Par chance, Israël ne représente pas TOUS les juifs. Quant à l'opération Plomb fondu, il faut l'appeler action humanitaire ? Et philopalestinienne ? Quand "l'inadéquat" atteint de telles proportions, les "erreurs individuelles" atteignent toute la collectivité. Que nos amis israëliens tournent leur langue 7 fois dans la bouche avant de rejeter toute critique : une façon d'éviter l'antisémitisme.
c'est tellement facile! critique la politique d'Israël et tu es antisémite.. le pire c'est que tout le monde est obligé de jouer le jeu et de prendre ce genre d'arguments au sérieux. Israël est un état comme les autres sur le plan du droit international.
L'instrumentalisation de l'antisémitisme pour nier les crimes de guerre a Gaza est compris par tout le monde. Israël pense probablement que le monde est stupide. Amsterdam pc
Ca m'étonnait aussi que l'accusation ne soit pas venue plus tôt. Comme moyen de défense pour Israel, c'est imparable. Ca fera taire le monde entier... Redoutablement efficace.
Élémentaire mon cher Watson ! Les Palestiniens de Gaza étant des sémites et sans doute les véritables descendants des anciens Hébreux...
Article 1 : toute critique directe ou indirecte d'Israel est un acte d'antisémitisme et sera puni comme tel. On attend maintenant que MM Gayssot et Fabius fassent adopter cette loi devant notre parlement.
Mon épouse est juive et choquée par le caractère raciste d'Israël est devenue antisioniste. Suis-je antisémite ?

Si Israël veut continuer à faire honte à ceux qui l'habitent et ceux qui soutiennent son existence, c'est son problème. Il serait bien tout de même que l'Etat Hébreux s'abstienne par acquis de conscience de porter une telle atteinte à la notion "d'antisémitisme", de même il serait utile que les juifs du monde entier demandent à ceux qui prétendent les représenter un minimum de considération humanitaire à l'égard du peuple qu'ils spolient et humilient chaque jour que YHWH fait.
Le gouvernement israélien, qui est aux mains de l’extrême-droite et des lobbies de colons, est en train de perdre la tête et de détruire la dernière trace de crédibilité qui lui reste dans le monde. Accuser le juge Goldstone, lui-même juif, d’avoir rédigé un rapport antisémite sous prétexte que ledit rapport dénonce des crimes de guerre commis par Tsahal ne fait pas sens. C’est aussi très, très dangereux de confondre antisémitisme et critique d’Israël.
Facile, l'excuse de l'antisémitisme dès que l'on pointe du doigt les exactions de l'armée israëlienne! Attention, la seconde guerre mondiale s'éloigne et avec elle le capital sympathie que le peuple juif avait pu obtenir après la shoa. Il faut donc arrêter de se présenter en victime éternelle car ça va passera de moins en moins dans les opinions publiques non-juives. Sur cette opération, Tsahal "mème" par plus de 1000 morts civil à quelques unités. Elle est donc pointée du doigt, fort justement
Je pense, là, qu'ils ont cinq minutes de retard dans l'affirmation d'antisémitisme. C’est pas sérieux ça ! ! ! Peut mieux faire ;-)))
l'antisemitisme a parfois bon dos !!!!!!
Le rapport Goldstone accuse un ministre israélien de crimes de guerre.




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