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E. do REGO

IL EXISTE MILLE MANIERES DE MENTIR, MAIS UNE SEULE DE DIRE LA VERITE.

Le Mensonge peut courir un an, la vérité le rattrape en un jour, dit le sage Haoussa .

Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.










Sunday, May 15, 2011

ZION - Il y a 30 ans mourait Bob Marley

11 mai 2011


Il y a 30 ans mourait Bob Marley à Miami des suites d’un cancer généralisé. Né Robert Nesta Marley en 1945, le “pape du reggae” comme il est parfois appelé – entre autres sobriquets du même accabit est resté une idole extrêmement populaire, même pour les générations nées des années après sa mort.


Les obsèques de Bob Marley
“C’était le plus grand poète, le plus grand musicien, le plus grand producteur. J’aimerais tellement que plus de reggae ressemble à ça”. C’est ainsi que le musicien Ben Harper, qui reprend régulièrement ses chansons, parle de son mentor devant la caméra de Ouest-France. Le quotidien régional est aussi allé à Kingston, la capitale de la Jamaïque, île natale de Bob Marley. Premièrement, l’île bénéficie de l’aura de la star. “Pour les rastas, c’est un pèlerinage”, explique le correspondant du journal. Mais Bob Marley n’est pas vu uniquement, en Jamaïque, comme une vache à lait dont le souvenir permet d’attirer les touristes. “La success-story de cet enfant du pays, grandi au ghetto, est un exemple pour nos jeunes”, explique une habitante de la ville.


“I shot the sheriff”
Même son de cloche chez Ben Harper : “Bob Marley a établi un standard de la contestation sociale liée à la musique.” Bob Marley serait-il une icône de la lutte sociale ? “Avant même d’être emporté par le cancer, le patron des Wailers n’était plus tout à fait un artiste mais bien le porte-étendard d’une cause et d’aspirations largement partagées à l’échelle de la planète”, rappelle RFI.
“C’est un messager qui est mort, investi de droit divin en Jamaïque, un leader porteur d’espoir et de liberté pour les Africains et les différentes communautés noires en général, un héros pour tous ceux, quelles que soient leurs origines et leur culture, qui croient en la nécessité de lutter pour l’égalité des droits, un symbole de paix, d’amour et de courage enfin”, écrivaitLe Monde deux jours après sa mort.


“Africa Unite”
A l’occasion de l’anniversaire de sa mort, l’hebdomadaire VSD publie une interview inédite, réalisée en 1978, alors qu’il se produisait à Paris. Rien de révolutionnaire ne sort de cet entretien, mais le “Lion”, un brin mystique, est interrogé sur la soudaine popularité du reggae : “Oui c’est vrai, [l’intérêt pour le reggae est] bien plus que quand j’ai commencé. Il y a des rastas à Paris aujourd’hui, mais aussi en Angleterre, en Afrique. Partout, ils sont partout, c’est la vérité.” L’Express republie lanécrologie de Bob Marley, parue le 16 mai 1981 dans laquelle Philippe Adler retrace le long chemin avant la reconnaissance du reggae.
“A 20 ans à peine, Marley fonde son groupe musical, les Wailers. Déjà, la voix est un peu voilée. Déjà, l’engagement politique, l’envie de se battre pour un monde meilleur sont là. Déjà, le rythme lancinant, obsédant et chargé de sensualité du reggae est là. Mais le monde n’est pas prêt à recevoir le message, et les premiers airs que le chanteur enregistre ne franchissent pas la mer des Caraïbes. C’est au début des années 70 que tout va changer. Grâce aux grandes stars de la pop – Eric Clapton, McCartney, Rolling Stones – qui, essoufflées, recherchent un nouveau son. Dans leur foulée, Marley va pouvoir sortir de son île et faire enfin entendre son cri”.
Son “cri” continue à se diffuser loin de la Jamaïque. En tout, Bob Marley aura vendu plus de 200 millions d’albums et sa musique restera la référence d’un genre qui s’est depuis largement diffusé et diversifié. “Tout ce qu’on peut essayer, c’est de se mettre au niveau”, conclut Ben Harper. Il n’est pas certain en revanche que son combat social ait réussi à franchir le temps.


Bob Marley et la marijuana


"Les gens qui tentent de rendre ce monde mauvais ne prennent jamais de jours de congés. Comment le pourrais-je ?" ( Bob Marley)
C'est en ces termes que le plus célèbre des Rastas se moquait de ses ennemis, particulièrement ces 6 hommes armés, qui ont tenté de l'abattre à son domicile  le 3 décembre 1976. L'attentat portait la marque du KKK, organisation suprématiste blanche et raciste, qui n'appréciait pas du tout les sonorités musicales et révolutionnaires de ce apôtre de la révolte pacifique contre l'oppression coloniale.
Robert Nesta Marley alias  Bob Marley, fils d'une mère noire jamaïcaine et d'un père blanc britannique, officier de la Navy, est mort le 11 mai 1981, entrant par la même occasion dans l'histoire de la musique planétaire. 30 ans déjà !

A2N


http://www.alert2neg.com/article-bob-marley-30-ans-deja-73856681.html
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Tuesday, May 10, 2011

10 mai 1981, triste anniversaire


« Il y a deux manières d’aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu’on y renonce. La seconde à considérer qu’il s’agit d’une exigence de justice et que, si l’on fait le compte des obstacles, c’est avec la volonté de les surmonter », écrivait François Mitterrand en 1980 (1). Sept ans plus tard, pourtant, au terme du premier mandat du président socialiste, Lionel Jospin sonnait le glas du volontarisme politique qui avait marqué les premiers mois du gouvernement de gauche — nationalisation des banques et des grands groupes industriels, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, augmentation des minima sociaux. Il annonçait en effet : « La période des grandes réformes ne se renouvellera pas (2). »
Les « réformes » allaient reprendre, mais en changeant de sens. Il ne s’agirait plus de réduire les inégalités sociales, mais d’accroître la rentabilité des entreprises ; plus d’élargir les marges de manœuvre de la puissance publique, mais de généraliser aux services publics la logique du marché ; à l’information et à la culture, celle de l’audimat et de la publicité. Ceci dit, le réformisme de la gauche a également concerné des questions de société, à propos desquelles les socialistes peuvent pointer de réelles avancées (suppression des juridictions d’exception, abolition de la peine de mort, fin des discriminations liées à la sexualité).
Paradoxalement, le seul président socialiste élu en France depuis Vincent Auriol en 1947 aura néanmoins compté au nombre des agents les plus performants de l’affaiblissement en France de l’idée de socialisme. Sa popularité actuelle dans les milieux dirigeants de l’entreprise et des médias ne s’explique peut-être pas autrement…
Pour les adversaires de la gauche (et pour les éléments les plus modérés de celle-ci), le bilan des années Mitterrand a ceci de réconfortant qu’il paraît avoir confirmé qu’un pays enserré dans l’économie mondialisée serait voué à perpétuer l’ordre social. L’échec du projet de « rupture avec le capitalisme » de Mitterrand permet ainsi à la droite de prétendre qu’il n’existe aucune alternative viable au libéralisme économique qu’elle défend : « Ce qui était socialiste n’a pas marché. Ce qui a marché n’était pas socialiste (3). »
Les socialistes modérés, pour leur part, se montrent d’autant plus prompts à exagérer les « erreurs » volontaristes de leur programme de 1981 qui aspirait à « changer la vie » que cela leur permet de célébrer le nouveau « réalisme » de leurs projets successifs (4). Ils n’aspirent plus dorénavant qu’à « réguler le capitalisme », ce qui explique qu’un des leurs dirige le Fonds monétaire international (FMI), pendant qu’un autre pilote l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
En définitive, la question n’est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s’ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l’emploi et sur celui de l’égalité sociale. Ils ont réussi sur ceux de l’inflation et des taux de profit. Le problème, c’est qu’on attendait d’eux qu’ils livrent la première bataille, pas qu’ils remportent la seconde.
Serge Halimi
(1) Cf. Quand la gauche essayait, Arléa, Paris, 2000.
(2) Le Monde, 9 octobre 1987.
(3) Alain Madelin, Europe 1, 12 février 1986.
(4) Le PS a admis, lors de son congrès de la révision doctrinale, en décembre 1991 : « Le capitalisme borne notre horizon historique. »

Dans « Le Monde diplomatique » :

  • « L’histoire vire-t-elle à droite ? » (aperçu), par Rémy Lefebvre, avril 2011.
    « Les valeurs des Français » ont-elle évolué vers la droite, comme l’estimait récemment Nicolas Sarkozy ? Le Parti socialiste ne se démarque pas toujours de cette analyse, bien commode pour justifier des renoncements politiques dont l’extrême droite se nourrit.
  • « “Vive la crise !”, saison deux » (aperçu), par Laurent Cordonnier.
    Un quart de siècle après la diffusion de « Vive la crise ! », une émission de pédagogie libérale animée par l’acteur Yves Montand, la télévision publique récidive, le 11 janvier. Mais, cette fois, le climat idéologique a changé.
  • « Liberté, égalité... “care” », par Evelyne Pieiller, septembre 2010.
    Respect, souci des autres : Martine Aubry hésite entre plusieurs termes pour traduire la notion de « care » qui, selon elle, devrait fonder le projet de société du Parti socialiste. Mais cette priorité accordée à la compassion ne conduit-elle pas à négliger les structures de l’économie ?
  • « Les socialistes ont-ils bonne mémoire ? », par Serge Halimi, avril 2010.
    Dans son dernier ouvrage de Mémoires, M. Lionel Jospin fait peu de révélations et ne délivre pas d’analyses percutantes. Néanmoins, l’ensemble n’est pas entièrement dépourvu d’avantages, qui relate la métamorphose d’une des figures de la gauche française, passée du militantisme trotskiste à la direction du PS.
  • « Terra Nova, la “boîte à idées” qui se prend pour un think tank », par Alexander Zevin, février 2010
    Un peu partout en Europe, les partis de gauche errent comme des bateaux ivres, incapables de définir une ligne politique, un projet de société. Ce marasme favorise les entreprises de « refondation intellectuelle » du progressisme, parfois moins désintéressées que ne l’affirment leurs ambitieux promoteurs.
  • « Socialiste ou “manager de l’espoir” ? » (S. H.), septembre 2008.
    M. Delanoë a choisi de se placer sur la scène déjà encombrée des « pragmatiques », des « réalistes », des modérés. Le maire de Paris se veut avant tout entrepreneur, « manager » même.
  • « A gauche, l’éternelle tentation centriste », par Grégory Rzepski et Antoine Schwartz, juin 2007.
    Face aux attraits de M. Sarkozy, capable de séduire le Front national et d’enrôler des personnalités comme M. Bernard Kouchner, les dirigeants de gauche semblent désorientés. Certains d’entre eux recommandent une adhésion plus ostensible à l’économie de marché. L’idée n’est pas vraiment inédite…
  • « La foire aux fiefs », par François Cusset, mai 2007.
    Parmi les curiosités héritées des années 1980, un paradoxe ne surprend plus personne : la décentralisation a engendré la mise en concurrence féroce et publicitaire des mille recoins de l’Hexagone et creusé une « fracture provinciale ».
  • « Quand la gauche de gouvernement raconte son histoire » (S. H.), avril 2007.
    Depuis 2002, on ne compte donc plus les acteurs directs des septennats de François Mitterrand ou du gouvernement de M. Lionel Jospin qui ont rédigé des ouvrages de Mémoires et d’analyse.
  • « Changer de président ou changer de Constitution ? », par André Bellon, mars 2007.
    L’élection présidentielle est devenue le centre de la vie politique française. Cependant, elle contribue aux dérives de la personnalisation du pouvoir. N’est-il pas temps de repenser les institutions et — pourquoi pas — de revenir au parlementarisme ?
  • « Quand la gauche renonçait au nom de l’Europe » (S. H.), juin 2005.
    Transformation sociale ou invocation des « contraintes européennes » ? Seule une réécriture conservatrice de l’histoire a conduit à poser comme inédite une question qui ne l’est pas. Car le risque d’une collision entre les ambitions de la gauche française et un environnement international qui l’inciterait à en rabattre ne date pas d’hier.
  • « La gauche dans son labyrinthe », par Anne-Cécile Robert, mai 2005.
    Pourquoi, lorsqu’il s’agit de la construction européenne, les représentants officiels de la gauche soutiennent-ils des documents qui, comme le traité constitutionnel, n’ont que peu à voir avec leur vocation politique et sociale ?
  • « Le rendez-vous manqué de la gauche et des cités », par Olivier Masclet, janvier 2004.
    La gauche rappelle régulièrement les principes du pacte républicain, tels que l’égalité des chances ou l’intégration de tous dans le respect des différences... Mais quelles mesures avance-t-elle pour intégrer les couches populaires, notamment les Français d’origine maghrébine ?
  • « Flamme bourgeoise, cendre prolétarienne » (S.H.), mars 2002.
    L’essai de M. Dominique Strauss-Kahn, La Flamme et la Cendre, théorise la rupture du Parti socialiste à la fois avec son histoire et avec ce qui constitua longtemps une fraction significative de sa base sociale.
  • « Un bilan doublement révélateur » (S. H.), mai 2001.
    L’ouvrage de deux journalistes de haut rang, qui ont fait appel, pour analyser les vingt années écoulées depuis l’élection de François Mitterrand, à « 47 experts et grands témoins », offre une belle démonstration de l’enfermement d’un certain journalisme dans la pensée dominante.
  • « Il y a quinze ans, “Vive la crise !” (P. R.), février 1999.
    En février 1984, une émission de télévision cherchait à accomplir un travail de propagande en faveur du marché. Fin des idéologies, futilité de l’Etat-providence, culte de l’entreprise : les Français étaient appelés à sacrifier Etat social et conquêtes syndicales sur l’autel de la rigueur.

Dans notre DVD-ROM d’archives (1968-2010) :

  • « Au nom du consensus... », par Christian de Brie, juillet 1988.
    Les élections présidentielle et législatives viennent de consacrer le ralliement des socialistes à la logique de l’économie de marché, aboutissement d’un long glissement amorcé dès 1982.
  • « Les socialistes français et la contrainte européenne », par Bernard Cassen, juin 1988.
    Le PS fait face à deux défis cruciaux : briser l’engrenage de la société duale qui s’installe, véritable fabrique des exclus et terreau de l’extrême droite ; préserver une marge de manœuvre vis-à-vis de l’Europe libérale du marché unique, qui ne connaît d’autre impératif que celui de la rentabilité.
  • « La foire aux libertés (I) », par Claude Julien, septembre 1984.
    L’intérêt général : tel était l’un des leitmotive de la gauche qui, maintenant, semble lui préférer l’« individualisme ». Mais elle renie son propre projet lorsqu’elle renonce à combattre une idéologie qui fait fi de l’intérêt général.
  • « La trajectoire originale du parti socialiste français », par Kostas Vergopoulos, septembre 1981.
    Le socialisme français aujourd’hui au pouvoir se situe dans une perspective différente de celle des social-démocraties du Nord, non seulement par ses objectifs, mais aussi parce qu’il correspond à un autre type de société.


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Saturday, May 07, 2011

What 'Situation Room Photo' reveals about us - CNN.com


What 'Situation Room Photo' reveals about us


President Barack Obama and his national security team watch updates on the mission to capture Osama bin Laden on Sunday.
(CNN) -- By now, the photo is a classic. It's become the most viewed image on Flickr -- a mesmerizing picture that suggests as much as it reveals.
You may know it simply as the "Situation Room Photo," but you may not be aware of what some say are three subliminal messages that make it so powerful and unusual.
The photo captures President Barack Obama huddled with his national security team in the White House Situation Room as they monitor via live video the capture and killing of Osama bin Laden.
Most commentators have focused on the historic nature of the photo: Obama staring at the screen with a grim intensity; Secretary of State Hillary Clinton, covering her mouth to repress her reaction -- the epicenter of U.S. military power hunting down its most hated foe.
But look deeper and that photo becomes historic in a more subtle way. It's a snapshot of how much this nation's attitudes about race, women and presidential swagger are changing, several scholars and historians say.
"The photo is visually suggestive of a new American landscape that we're still crossing into," says Saladin Ambar, a political science professor at Lehigh University in Pennsylvania.
"When Obama was elected, there were some people who thought that we had crossed a racial threshold," Ambar says. "What his presidency is revealing is that there are many crossings."
A black man becomes 'protector in chief'
The photo crosses one threshold of race in its unusual framing of an African-American man threatening violence, one black commentator says.
For much of U.S. history, the black man has often been portrayed as the threat to America's safety -- the angry man, the thug, the one you cross the street to avoid, says Cheryl Contee, co-founder of Jack & Jill Politics, a blog focused on current affairs from a black perspective.
But in the Situation Room photo, Contee says, the black man is America's protector.
There's no historical precedent for this image, she says. White Americans now see a black man not just as their president but their "protector in chief," Contee says.
"That photo is amazing," she says. "It's another step toward rehabilitation of the image of black men in American culture. It's going to forever impact how people see black men in America."
The photo also resolves a tricky image problem for Obama, says Jerald Podair, a history professor at Lawrence University in Appleton, Wisconsin.
Podair says Obama has always been careful to avoid the angry black male stereotype in his public persona, but has acquired another image -- that of detachment, even weakness.
The photo of Obama hunkered down with his national security team watching the stalking and killing of bin Laden solves both problems, Podair says.
"He can now appear strong without being threatening. After all, he's on our side. Obama can now take up his white predecessors' mantle of 'protector in chief,' " Podair says.
It's not certain how long that mantle will stay attached to Obama, but at least one political scientist says he's already seen the photo's impact.
"This is one of the rare times that Tea Party supporters have referred to Obama as President Obama," says Ari Kohen, an associate professor of social justice and political science at the University of Nebraska-Lincoln.
Women at the center of power
The photo also breaks ground when it comes to women, others say.
The image is laced with testosterone: a crowded room full of powerful military and political men, some with medals bristling across their uniforms, gathered to drop America's hammer.
Some online viewers compared it to the photos of D-Day during World War II. Another said it was a portrait of "the nexus of power in the Western world."
But there were no iconic shots of women storming the beaches of Normandy or raising the flag at Iwo Jima.
Go back and examine the defining historic photos of American military might in action, and women are absent, historians say.
A glance at the now famous photos of President John F. Kennedy and his staff during the Cuban missile crisis is typical, says Ambar, the Lehigh University professor.
The photos show square-jawed men in crew cuts and uniforms surrounding Kennedy in the White House. You can practically smell the Aqua Velva in those old black-and-white photos.
"But if you go back and look at the Cuban missile crisis photos and the movies about it, there's no women," Ambar says. "In the movie 'Thirteen Days,' the only woman in the film was Kennedy's secretary."
Yet you see two powerful women in the Situation Room photograph -- Clinton and Audrey Tomason, director for counterterrorism, who is straining to see from the back. Their inclusion shows how far women have come, Ambar says, even though Clinton's response is ambiguous because she's covering her mouth in what looks to be alarm.
"God only knows what she's seeing on the screen," Ambar says. (Clinton has since said she was trying not to cough.)
Lori Brown, a sociologist, says showing two women at the center of American military power is noteworthy, but Clinton's gesture undermines some of its impact.
"Women are often more physical in their emotional responses and in a 'power situation' it may not seem as acceptable, but times are changing and the Situation Room needs to change, too," says Brown, a professor of sociology at Meredith College in Raleigh, North Carolina. "Her emotions were more obvious, but I am sure many of the men in the room felt the same way she did."
Obama gets a little swagger
The photo finally crosses the threshold of what may be called presidential swagger, historians say.
American presidents have traditionally sold themselves as our alpha male. Theodore Roosevelt went safari hunting; Ronald Reagan cleared brush at his ranch in a cowboy hat; George W. Bush did his "Top Gun" imitation when he donned a flight suit on the deck of an aircraft carrier.
"There's a certain kind of machismo and swagger that Americans expect their president to reflect," says Clarence Lusane, author of "The Black History of the White House."
Projecting that presidential swagger was so powerful that it obscured some presidents' serious illnesses, such as President Franklin Roosevelt's polio and Kennedy's hobbling assortment of ailments, including a bad back, Lusane says.
"They were both very ill. Kennedy could barely stand for two hours. But they never let those images out because they had to project toughness. Obama, though, is a different animal."
The photo shows why.
If someone didn't know who Obama was, he or she probably couldn't tell that he was the president in the room, some scholars say.
"He's not in the tallest chair," says Brown, the sociology professor at Meredith College. "He's not the center of attention. He's not even in the middle of the room."
Yet Obama's willingness to be photographed without the typical Oval Office swagger gives birth to a new type of swagger, says Contee of Jack & Jill Politics.
She says that photo shows Obama's self-assurance and leadership style. He seeks out the opinions of his advisers. He believes in collaboration -- all while he's taking down the baddest terrorist on the planet.
He doesn't need to wear a "Top Gun" flight jacket to project strength, she says.
"You would almost expect the president to be standing in that position," she says. "That shows his leadership style. He doesn't need to thrust his leadership style forward."
Expect more snapshots such as the one from the Situation Room, says Ambar, the Lehigh University professor.
As Obama moves into the third year of his term, photos will capture moments that show how far we've come.
"That's part of what being the first African-American president is all about -- we're all being transformed together," he says.
Ambar says he was so intrigued by the Situation Room photo that he cut it out to study it. He's still parsing its meaning.
"It is an image unimaginable 30 years ago," he says. "Let us hope we have more of these in the nation's future."

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President Obama Honors the Memory of 9/11

StreetInsider.com - Obama's Big Week

May 6, 2011 2:00 PM EDT

President Barack Obama may have just had the best week of his life. Not only did the President make the crucial call to storm a secretive compound in Pakistan that resulted in the killing Osama bin Laden, but on Friday he received a better-than-expected jobs number that is showing clear signs that the economy is improving.

In a dramatic appearance Sunday evening, President Barack Obama announced that the world's most wanted man had been killed. Bin Laden was found in a large compound in Abbottabad, about one hour north of the Pakistan capital of Islamabad. U.S. special operation forces, including an elite U.S. Navy Seals unit, stormed the compound and killed bin Laden. His body was buried at sea.

To say that the U.S. celebrated his death would be a understatement. While partying and high-fiving was kept to a minimum, there is a deep satisfaction in every U.S.. citizen that this scum-of-the earth was finally executed.

While the bin Laden news is something that can carry the President for months, he got a surprise piece of good news Friday with the jobs report.

Much to the surprise of Wall Street, the US economy added a total of 244,000 nonfarm jobs last month, above the 185,000 economists had been expecting. The change in nonfarm payrolls for March was revised slightly higher from 216,000 to 221,000.

With the President riding a tide of good news, Republicans are getting nervous about upcoming 2012 Presidential elections. Poll numbers will likely show a big jump in approval for Obama. If the economy can gain some traction the Bin Laden boost may hold - giving Republicans an uphill battle to retake the White House.StreetInsider.com - Obama's Big Week

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