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E. do REGO

IL EXISTE MILLE MANIERES DE MENTIR, MAIS UNE SEULE DE DIRE LA VERITE.

Le Mensonge peut courir un an, la vérité le rattrape en un jour, dit le sage Haoussa .

Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.










Sunday, January 30, 2011

La crise Ivoirienne…plutôt celle de l’Union Africaine



La crise ivoirienne qui s’éternise n’est autre qu’un exemple supplémentaire du manque d’envergure, de compétence et de leadership de nombreux soit disant dirigeants africains.
Je commence par préciser que je ne suis pas pro Gbagbo ou pro Ouattara, je serais plutôt pro cote d’Ivoire et pro Africain. La Cote d’Ivoire  aurait du servir d’exemple de stabilisation après une grave crise. Cette fameuse crise de 2002 dont les dessous n’ont jamais été éclaircis mais qui a surement a voir avec l’empressement de Mr Gbagbo de voyager par mot et par vaux au lieu de régler les problèmes de son pays. Si Mr Gbagbo avait prêté l’attention qu’il porte aujourd’hui à sa maréchaussée, nous nous serions sans doute épargne le traumatisme de 2002. Ce traumatisme qui est rapidement devenu un fond de commerce pour le camp de Mr Gbagbo surtout lorsque qu’il a senti le vent de la défaite.
Les dirigeants africains et européens d’ailleurs qui jouent avec l’avenir de la Cote d’Ivoire sont des irresponsables car dans toute élection, il faut un vainqueur et un vaincu. Aussi, on ne peut pas changer les règles du jeu parce qu’on a perdu la partie. L’instrumentalisation du Conseil Constitutionnel entre autres institutions est tout bonnement lamentable et contribue a donner de l’Afrique, une bien triste image. Laurent Gbagbo a perdu les élections, cela est clair et net donc nul besoin de recompter des procès verbaux qui doivent être bien élimés après tout ce tripotage. La conduite de Laurent Gbagbo et de son camp est une première en Afrique, continent qui pourtant a connu bien des déchéances, mais celle-ci est bine nouvelle. Sommes nous en train de voir une manœuvre politique a l’africaine, qui consisterait a instaurer un régime scélérat ou un de ces fameux gouvernements d’union nationale a la gomme quand on perd les élections. A quoi bon voter alors ? Pourquoi la voix de prés de six millions d’Ivoiriens est mise de cote parce qu’un scélérat au passe lourd et avec un futur de prisonnier fort prometteur confisque le pouvoir. Cette honte défendue par certains intellectuels africains au nom de la lutte anti impérialiste est tout simplement condamnable. Je ne citerais aucun de ces gens car ce serait leur faire trop d’honneur mais que Laurent Gbagbo utilise des hommes politiques et autres avocats au passe douteux et corrompus comme lui devrait être un signe assez fort pour ses soit disant défenseurs. Que des hommes politiques souvent français et qui ne sont pas sur de localiser la cote d’Ivoire sur un carte, se transforment en expert sur ce pays doit nous donner des frissons dans le dos. La crise ivoirienne à même permis a certains de ces politicards d’exister ou de renaitre sur la scène politique a l’aide de déclaration tapageuses et intempestives. Mais tout ceci nous le devons a Laurent Gbagbo qui aurait pu épargne a son pays, qu’il dit défendre un lot de charniers supplémentaires sans parler du ridicule porte sur le pays d’Houphouët Boigny. Et Dieu seul sait a combien s’élèvera la facture économique de cette aventure. Aimer son pays ne veut pas dire forcement le diriger, sinon ce serait l’anarchie similaire a celle créée et savamment entretenue par Laurent Gbagbo et son clan. La douceur des  fauteuils  du palais de Cocody nous ont porte tort car ils ont transforme l’animal politique que fut Laurent Gbagbo en dictateur en herbe. Et aucune rhétorique anti impérialiste ne saurait défendre cette farce que nous joue le clan Gbagbo car ce sont des Ivoiriens qui meurent, qui sont kidnappes, violes, meurtris dans leur chair et dans leur esprit, tortures et j’en passe des meilleures. Pas un seul Français  ou occidental n’a même été égratigné durant cette nouvelle crise ivoirienne. Donc que l’on m’explique qui combat Gbagbo et ses sbires sinon le peuple ivoirien lui-même, qui souffrait sous son régime partisan et corrompu, et qui continue de souffrir de sanctions politiques, économiques et sociales.
On nous parle de nouvelle monnaie (de singe ?) mais j’ai une question simple, les avoirs gelés par les Occidentaux et qui ont sans doute été honnêtement gagne par leur titulaires (sic) seront-ils convertis dans la nouvelle monnaie ou non ? Les fonds qui auraient dispersés et planqués dans les rares pays amis du clan Gbagbo sont ils aussi dans cette monnaie ?
Les abrutis qui perpétuent l’ironie du titre d’Ivoirien que nous portons et qui répondent aux appels du soit disant « ministre de la rue », l’infâme Blé Goudé, doivent se poser les vrais questions. L’une des premières pouvant être comment un homme qui n’a jamais travaille  de sa vie peut devenir ministre de l’emploi dans un pays qui désire devenir un pays émergeant. La Cote d’Ivoire a telle une faillite de cadres valables qu’on en soit réduit à utiliser un « Fescite » comme on dit a Abidjan pour un faire un ministre d’un secteur clé comme la jeunesse et l’emploi. Ou sont les vrais cadres du FPI ou devrais je dire LMP.
Le régime de Laurent Gbagbo a longtemps montre ses limites après une accession au pouvoir favorise par la même communauté internationale qui lui demande de lever le camp. Nul ne se souvient des résultats de l’élection de 2000 et pour cause, car entre temps la France par son gouvernement socialiste avait impose Laurent Gbagbo aux Ivoiriens. Ces mêmes partenaires de l’IS pour les intimes ou International Socialiste qui demandent aujourd’hui a Laurent Gbagbo de quitter le palais et milite pour l’exclusion du FPI (Front Populaire Ivoirien) de la même International Socialiste.
Le bilan de Laurent Gbagbo est indicible tant il est marque par un manque de compétence latent, une gabegie prononcée, la mise a sac de l’économie ivoirienne, le racket institutionnalisé pour les entreprises locales comme étrangères et un livre pourrait facilement voir le jour sur le sujet.  Une gestion catastrophique justifiée a tout bout de champ par la soit disante guerre de 2002.  Une précision de taille est que la Cote d’Ivoire n’a pas connu la guerre Dieu merci car pour voir les véritables affres de la guerre, il faut aller au Liberia voisin ou alors en Sierra Leone. Nul ne souhaite cela à la Cote d’Ivoire a part les sbires de Laurent Gbagbo qui s’en servent pour retarder l’avènement d’une action militaire contre son régime scélérat. Les ivoiriens dans leur grande majorité et à l’exception notoire des excités du « patriote », l’infâme « General » Blé Goudé, en ont assez des conflits et ne se battront pas entre eux comme on s’efforce de le faire croire.
Quant à ces dirigeants africains dont une bonne partie sont au pouvoir de manière douteuse, ils ont pour certain une haine profonde et tenace pour le Président Alassane Ouattara car ce n’est pas un homme de leur sérail. Il n’a pas végété dans l’opposition a la poursuite d’un pouvoir illusoire arrivé pour certains  sur le tard d’où la tentation de s’y agripper (Sénégalais, ou êtes vous ?). Alassane Ouattara est un brillant homme qui a eu  affaire à certains de ces chefs d’états en tant que Directeur du Fonds Monétaire International, instance devant laquelle, nombre de ces chefs d’état on eu à se jeter à genoux pour boucler leur budget chancelant pour les uns ou pour éviter l’émeute de trop qui les aurait emporté pour les autres. Donc nombre d’entre n’ont aucune connivence avec lui, donc le trouve distant, hautain juste parce qu’ils n’ont pas évolué dans les mêmes cercles. Alors cette crise ivoirienne servi par Laurent Gbagbo est l’occasion rêvée pour certains d’en faire baver à l’économiste qui leur avait peut être en son temps refusé un prêt sur lequel il comptait pour acheter l’appartement tant convoité à Paris, New York ou Moréal dans l’un des pays Occidentaux dont ils condamnent le soutien au vainqueur légitime des élections ivoiriennes.
On se doit de se méfier de cette crise ou faisant feu de tout bois, on a même attaqué des mosquées, tiré et enlevé des musulmans sans se rendre compte que transformer cette crise en conflit religieux pourrait embraser toute la sous région. Le géant Nigeria n’arrive pas a ses stabiliser a cause de ces conflits récurrents ethnico religieux donc on comprend mieux son empressement à étouffer les velléités du pseudo régime Gbagbo car Goodluck Jonathan mieux que ses pairs sait ce que peut engendrer la fuite en avant meurtrière du clan Gbagbo. Nul ne veut voir AQMI (Al Qu’Aïda au Maghreb Islamique) s’intéresser à la Cote d’Ivoire car on y martyriserait des musulmans, surtout que les éléments  du groupe terroriste ratissent maintenant jusqu’ à Niamey. Mais tout ce raisonnement stratégique semble être de trop haute facture pour certains dirigeants africains qui jouent un double jeu dans cette nouvelle crise. Le débat est simple, suite à l’élection présidentielle du 28 Novembre 2010, un nouveau président a été élu en Cote d’Ivoire et le perdant a confisqué le soit disant pouvoir avec l’aide d’une faction de l’armée donc il faudrait après moult tentatives de médiation, purement et simplement l’évincer et tous les pseudo pacifistes qui rabâchent les oreilles de leurs slogans vides devraient aussi considérer le nombre croissant de morts et disparus que fait ce régime scélérat. La démocratie se doit d’être défendu parfois avec des baïonnettes au besoin car son non respect constitue une plus grande infamie et cause plus de dégâts parfois irrémédiables. Refuser l’intervention militaire pour déloger Laurent Gbagbo est être adepte de la méthode Coué car il est évident que ce gang ne répondra qu’ à la force. Il faut donc cesser les gesticulations inutiles et prendre les actions nécessaires car en attendant la Cote d’Ivoire se meurt sur plusieurs plans et certaines blessures ne pourront pas être guéries facilement, surement pas par le ou les mandats éventuels du Président Alassane Ouattara. Même Mouammar El Kadhafi le père de nombreuses déclarations malheureuses vient de déclarer qu’il fallait bombarder le palais au risque de tuer Laurent Gbagbo lui-même, et pour une fois il sera plus difficile de railler les déclarations du dictateur euh Guide Libyen. Car nombreux sont ceux qui considèrent qu’il coutera moins cher de reconstruire un palais présidentiel et une radio au besoin que de reconstruire une Cote d’Ivoire décimée par le cancer de la haine répandue par Gbagbo par le biais de la RTI (la défunte Radio Télévision Ivoirienne).
Les dirigeants africains jouent un jeu dangereux en camouflant pour certains leur soutien,  intéressé ou non a Laurent Gbagbo, derrière un refus d’un soit néo colonialisme. Ces mêmes hypocrites iront ensuite s’agenouiller devant cette même communauté internationale pour boucler leurs budgets respectifs. Alors ce combat contre le néo colonialisme, il devient quoi dans tout ca ? Entretemps, la vie de millions d’ivoiriens est en jeu et chaque minute qui passe coute a la Cote d’Ivoire des revenus financiers qu’elle ne recouvrera sans doute jamais. Que dire sinon quel gâchis car la Cote d’Ivoire perd sur quasiment tous les plans car en plus des fonds détournés, le clan Gbagbo est aussi en train de couler la Cote d’ivoire économiquement  (embargos diverses et varies) en plus de leur gestion calamiteuse des dix dernières années. Le seul élément du défunt gouvernement Gbagbo qui trouvait grâce a mes yeux par sa compétence, Charles Diby Koffi pour ne pas le nommer, a promptement rejoint le camp du Président Alassane Ouattara. Il faut se dire après tout que si le Président Alassane Ouattara avait même propension à utiliser la stratégie du tout ou rien comme Monsieur Laurent Gbagbo, la Cote d’Ivoire aurait déjà été à feu et a sang depuis longtemps. Si Laurent Gbagbo refuse toujours de quitter le  serait pas pour le Président Alassane Ouattara, mais bien pour la Cote d’Ivoire tout entière et même l’Afrique elle-même. L’Afrique est en lambeaux après cinquante ans d’indépendance de gestion chaotique, prédatrice et intéressée avec une bonne dose de néo colonialisme savamment entretenu.
Il faut donc faire fi de certaines opinions car attendre l’unanimité au sein de l’Union Africaine équivaudrait a condamner la Cote d’Ivoire a mort. Le double jeu évident des dirigeants sud africains est condamnable surtout venant de dirigeants qui ont maintenu Robert Mugabe au pouvoir et ainsi de fait coulé le Zimbabwe, une grande puissance agricole. Et le plus drôle étant que le plus célèbre nationaliste du monde sans doute est sud africain, Nelson Mandela le bien nommé dont la tenue est un référence pour tous saufs pour les dirigeants africains. La CEDEAO se doit de régler cette crise ivoirienne même militairement au besoin car elle subit actuellement les contrecoups de cette crise et en sera la première victime. L’Afrique du Sud contrôle bien sa zone d’influence économique sans interférence aucune de la CEDEAO par exemple, alors pourquoi devrait elle prendre un rôle majeur  dans la résolution d’une crise en Afrique de l’Ouest ? Comment expliquer que l’Union Africaine qui a reconnu Alassane Ouattara comme Président élu de la Cote d’Ivoire peut maintenant demander a Alassane Ouattara de négocier avec un tyran pour accéder au pouvoir. Au lieu de d’aider Alassane Ouattara à asseoir son autorité, voici qu’après nombre de médiations diverses et variées, on propose maintenant une autre médiation qui donnerait des conclusions contraignantes pour les deux parties. Cet énoncé est tout bonnement ridicule car si Laurent Gbagbo a ignore les premières injonctions de quitter le pouvoir, comment accepterait il les autres émanant du soit disant panel de chefs d’état de l’UA ? Surtout si ces conclusions lui sont défavorables. Si le ridicule tuait, l’Afrique serait développée car la majorité des bouffons qui la dirigent auraient trépassé.
Au vu de leur manière de régler les crises du continent, il n’est pas étonnant que l’Afrique soit dans l’état lamentable ou elle végète depuis sa soit disant indépendance. Mais elle ne sortira pas de l’ornière avec des pseudos nationalistes comme Laurent Gbagbo dont la qualité première est d’abuser du populisme versant rapidement dans la démagogie sans oublier la corruption d’usage. L’Afrique a soif de dirigeants « rassasies » pour ainsi dire comme Ouattara, donc déjà fortunes et moins prompt a garder leurs mains (et parfois pieds) dans les caisses de l’Etat. Des dirigeants responsables qui sont capables de dresser des bilans honnêtes de leurs mandats  sans bégayer lors des débats télévisés (sic). Des dirigeant qui sont assez fiers pour partir quand il faut et comme il faut sans faire de vagues inutiles en respectant tous leurs concitoyens (vraiment tous), des leaders qui laissent des traces positives dans l’histoire tels Houphouët  Boigny et non des charognards qui pillent les caisses de l’Etat et l’économie de leur pays bien aime. Vivement que Laurent Gbagbo et la honte dont il a couvert la Cote d’Ivoire s’en aille afin que la Cote d’Ivoire puisse enfin réellement tenter d’atteindre son potentiel  et Dieu sait qu’il est considérable.

 E. Davis



Wikio

Monday, January 17, 2011

Après vingt-trois ans de pouvoir Ben Ali chassé de Tunisie


Après plusieurs semaines de manifestations, le président Ben Ali a été contraint de fuir le pays. Son premier ministre Mohamed Ghannouchi l’a remplacé, et a annoncé une ouverture dans tous les domaines. S’il est trop tôt pour savoir comment va se développer la situation, ce qui s’est passé est déjà historique, non seulement pour la Tunisie, mais pour l’ensemble du monde arabe. Pour la première fois depuis les années 1980, une révolte populaire vient à bout d’un régime incrusté au pouvoir depuis plus de deux décennies. D’autant que les problèmes qui ont ébranlé la Tunisie – chômage, corruption, autoritarisme – frappent toute la région.

Dans le Monde diplomatique

  • « Le réveil tunisien »
    par Jean-Pierre Séréni, La valise diplomatique, 6 janvier.
    Le mécontentement du peuple tunisien traduit les nombreux échecs du régime et met en lumière les quatre défis majeurs auxquels il est confronté.
  • « Un propagandiste intéressé du régime tunisien », par Alain Gresh, Nouvelles d’Orient, 23 octobre 2009.
    Habitué des plateaux de télévision français, se présentant comme un démocrate, Antoine Sfeir, le directeur desCahiers de l’Orient, affiche un soutien sans failles à la Tunisie. Selon lui, « le pays progresse régulièrement depuis l’arrivée au pouvoir de Ben Ali ».
  • « Tunisie : jugements iniques à Gafsa », par Karine Gantin, La valise diplomatique, 12 janvier 2009.
    Retour sur le procès des leaders du mouvement social majeur qui s’est déroulé en Tunisie, au premier semestre 2008, dans la région de Gafsa. Parmi les accusés, des syndicalistes enseignants, poursuivis pour constitution d’une entente criminelle et de participation à une rébellion…
  • « Révolte du “peuple des mines” », par Karine Gantin et Omeyya Seddik, juillet 2008.
    En arrêtant en juin 2008 plusieurs dirigeants du mouvement de protestation qui touche la ville de Redeyef, en conduisant des interrogatoires musclés, le pouvoir tunisien tente de mettre fin à une mobilisation qui a regroupé depuis le mois de janvier toute la population du bassin minier de Gafsa.
  • « La longue descente aux enfers de la Tunisie », par Kamel Labidi, mars 2006.
    La Tunisie a célébré en 2006 le cinquantième anniversaire de son indépendance, marqué par une dictature implacable. Eclairage sur un pays totalement verrouillé, gangrené par la corruption et placé sous la férule du président Zine El-Abidine Ben Ali depuis 1987.
  • « Mascarade électorale en Tunisie » (K. L.), octobre 2004.
    Candidat à sa propre succession aux élections de 2004, M. Ben Ali n’a pu se présenter pour un quatrième mandat que grâce une révision constitutionnelle largement contestée. Malgré un pluralisme de façade, la répression impose le silence à l’opposition dite « démocratique », que, par ailleurs, son éloignement de la société et sa désunion affaiblissent.
  • « Dictature à la tunisienne »
    par L. B., novembre 1999.
    Notre ami Ben Ali démonte un système qui a normalisé toute une société, où le nombre de policiers est passé de 20 000 à 80 000, où la torture est d’usage courant, où la langue de bois de la presse rappelle les beaux jours de laPravda sous Brejnev…

Toujours disponible

  •  « Le Maghreb colonial », Manière de voirnº 86, avril-mai 2006.
    La longue histoire de la pénétration française en Afrique du Nord, de la conquête coloniale et des luttes pour l’indépendance


ANCIENNES AMOURS - Leur ami Ben Ali - Big Browser - Blog LeMonde.fr



17 janvier 2011
ANCIENNES AMOURS - Leur ami Ben Ali
Alors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison pour laquelle nous proposons effectivement aux deux pays [l’Algérie et la Tunisie] de permettre dans le cadre de nos coopérations d’agir pour que le droit de manifester puisse se faire en même temps que l’assurance de la sécurité.
Mme Alliot-Marie a été vertement critiquée pour ces propos, sur les réseaux sociaux d’une part, mais aussi par l’opposition. Pourtant, nombreux sont ceux qui, de droite comme de gauche, ont vanté, par le passé, les qualités du président déchu. Un groupe Facebook a été créé pour recenser photos, vidéos et déclarations dans ce sens … que leurs auteurs préfèreraient sans doute oublier à l’heure de la “révolution du jasmin”.
Florilège de ces déclarations ; certaines ont été glanées sur le “Ben Ali Wall of Shame” (le mur de la honte de Ben Ali).
  • Sarkozy, citoyen d’honneur de la ville de Tunis
En avril 2008, Nicolas Sarkozy effectuait une visite d’Etat en Tunisie, accueilli en grande pompe par le président Ben Ali. Alors qu’il recevait symboliquement les clés de la ville de Tunis, le président de la République française se disait très honoré par la distinction qu’il reçoit des mains du maire de la capitale tunisienne. M. Sarkozy axe une partie de son discours sur l’islam en Tunisie, tolérant et ouvert, “qu’on aimerait voir dans tant d’autres pays”. “Il m’arrive de penser que certains des observateurs sont bien sévères avec la Tunisie, qui développe sur tant de points l’ouverture et la tolérance. Qu’il y ait des progrès à faire, mon Dieu, j’en suis conscient pour la France… et certainement aussi pour la Tunisie”, conclut le chef de l’Etat, avant de vanter le dynamisme de l’économie tunisienne.

  • DSK et le modèle à suivre
Le directeur du Fonds monétaire international était en déplacement en 2008 en Tunisie. M. Strauss-Kahn vante les mérites de l’économie tunisienne, qui se porte bien malgré la crise. Cette relative prospérité est due à une “politique économique (…) saine, [qui] constitue le meilleur modèle à suivre pour de nombreux pays émergents”.


  • Eric Raoult se réjouit de la réélection de Ben Ali
Membre du groupe d’amitié franco-tunisienne à l’Assemblée nationale, le député UMP du Raincy, Eric Raoult, est interrogé par Berbère TV sur la réélection de Ben Ali à la tête de la Tunisie en octobre 2009 avec près de 90 % des suffrages.“Incontestablement, en Tunisie, beaucoup de gens aiment le président Ben Ali”, tient-il à dire à ceux qui s’étonnent “en persiflant” du score de celui qui est président depuis 1987.
“Quand un certain nombre d’observateurs français font de la provocation à l’égard du président Ben Ali, il savent que quand ils arrivent à Tunis ils sont remis dans l’avion”,note le parlementaire, allusion à peine masquée à Florence Beaugé, journaliste auMonde, expulsée du pays. “On ne peut pas écrire dans son journal que la femme du président est une…, que le président est un…”, estime M. Raoult, qui propose un label “ami de la France” auquel aurait droit la Tunisie.
Enfin, le journaliste de Berbère TV demande à M. Raoult s’il est choqué par les entorses à la liberté d’expression en Tunisie : “Il y a une expression démocratique au Parlement français ou britannique qui sont de vieilles nations. La Tunisie a accédé à l’indépendance il y a cinquante ans. On ne crée pas une démocratie en quelques dizaines d’années.”

  • Frédéric Mitterrand ne veut pas donner de leçons
“Dire que la Tunisie est une dictature univoque me paraît tout à fait exagéré,estimait le 9 janvier 2011 le ministre de la culture sur Canal+, vantant notamment la condition de la femme en Tunisie.

  • Pour Rachida Dati, Ben Ali a protégé l’Europe de l’intégrisme
Alors que Ben Ali quittait la Tunisie, la députée européenne estimait, sur BFM TV, que l’on “ne pouvait pas se réjouir de la situation” en Tunisie. Pour Mme Dati, “Ben Ali a joué un grand rôle dans la coopération et la lutte contre le terrorisme. C’était aussi pour protéger les Européens”.

  • Chirac et le modèle tunisien
En 2003, le président de la République, Jacques Chirac, arrivait à Tunis accueilli par le président Ben Ali, à qui il donne une chaleureuse accolade. “Le premier des droits de l’homme est de manger, d’être soigné et de recevoir une éducation. De ce point de vue, il faut bien reconnaître que la Tunisie est très en avance”, déclarait M. Chirac.
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Commentaires

  1. […] ANCIENNES AMOURS - Leur ami Ben Ali - Big Browser - Blog LeMonde.fr bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/01/17/anciennes-amours-leur-ami-ben-ali/#xtor=RSS-32280322?utm_so… – view page – cached Alors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison… Read moreAlors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison pour laquelle nous proposons effectivement aux deux pays [l’Algérie et la Tunisie] de permettre dans le cadre de nos coopérations d’agir pour que le droit de manifester puisse se faire en même temps que l’assurance de la sécurité.“ View page […]
  2. Un excellent papier de Didier Lestrade sur ce thème
  3. DEHORS DEHORS DEHORS !
    On les savait compromis par realpolitik ou par intérêt, mais maintenant, on peut y ajouter la dissimulation et l’hypocrisie… Bande de faux-culs qui faites l’apologie de l’autoritarisme et de la misère humaine par cynisme et qui osez vous servir de la démocratie pour parvenir à vos fins ! À vomir de honte !
  4. […] La classe politique française observe la situation tunisienne avec un silence gêné. Et pour cause, ils étaient nombreux en France, de droite comme de gauche, à vanter les mérites du régime de Ben Ali. Le Monde.fr : à la Une […]
  5. faut-il couper toutes relations avec les pays non démocratiques? bien sur que non. la déclaration de N.Sarkozy me parait équilibrée: on ne va pas dans un pays pour le critiquer mais cela n’empêche pas les remarques “diplomatiques”: elles y sont.
  6. A dire que nous somment gouverné par des gens pareil, berkkk, celà fait peur ! Et ils prêche tous la démocracie et la justice, qu’ils se garde les leçons qu’ils nous donne tout les jours à la télé pour eux mêmes ! Ils en ont grand besoin ! Juste une bande de profiteur malsains voilà ce qu’ils sont !
  7. Je suis tunisien naturalisé français depuis quelques années. Avant j’avais la haine du régime tunisien qui me faisait honte. Aujourd’hui j’ai honte de ce gouvernement français.
    Est ce vraiment cela les droits de l’homme à la française aujourd’hui ? Pauvre France de moi….
  8. On critique içi des politiques français, pour leur absece de critiques sur le régime de Ben Ali. C’est de bonne guerre, mais tous les pouvoirs en place ont considéré alors qu’un régime économiquement efficace, même s’il avait développé des comportements mafieux, pouvait être temporairement une solution passable.
    Quant à la mémoire courte de certains politiques et certains journalistes, QUI a dénoncé les crimes de Staline? Et je vois encore la manchette du Monde d’avril 75 “Les Kmers Rouges ont enfin pris Pnom-Penh’. Alors soyons sérieux: le peuple a pu se débarrasser de Ben Ali parce que certaines conditions économiques et politiques étaient réunies, et c’est très bien comme ça!
  9. […] Source : Ben Ali et ses amis de la classe politique française | Le Monde.fr : à la Une Lire la suite de l’article sur Le Monde Publié dans Le Monde […]
  10. […] ANCIENNES AMOURS - Leur ami Ben Ali - Big Browser - Blog LeMonde.fr bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/01/17/anciennes-amours-leur-ami-ben-ali/#xtor=RSS-3208?utm_source… – view page – cached Alors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison… Read moreAlors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison pour laquelle nous proposons effectivement aux deux pays [l’Algérie et la Tunisie] de permettre dans le cadre de nos coopérations d’agir pour que le droit de manifester puisse se faire en même temps que l’assurance de la sécurité.“ View page […]
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  12. Moutanabbi, tu a honte de la France, tu est fier de ton pays d’origine, la Tunisie … Et bien retourne la bas !
  13. Un sacré tour de table d’analyses fumeuses, notamment autour du prétexte du danger islamiste, surtout quand on lit ceci : “L’ancien conseiller décrit des acteurs de plus en plus fébriles au fur et à mesure que le mouvement de révolte prend de l’ampleur dans le pays. Le 29 décembre, au lendemain du premier discours du président, il assiste à une réunion de crise. “Abdallah a dit : ‘Il faut que tout ça soit manipulé par un groupe affilié à Al-Qaida au Maghreb islamique. Pour nos amis français, c’est la seule solution.’ Ce à quoi a répondu Ben Ali, très cynique: ‘AQMI en Tunisie, c’est la mort du tourisme, on va se suicider’.””
    Tunisie sous Ben Ali = mélange de Cuba (pour certains droits, ici ceux des femmes), de RDA (pour la police politique) et de Chine (pour le “développement” économique).
  14. […] ANCIENNES AMOURS - Leur ami Ben Ali - Big Browser - Blog LeMonde.fr bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/01/17/anciennes-amours-leur-ami-ben-ali/ – view page – cached Alors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison… Read moreAlors que la Tunisie s’embrasait, avec des manifestations qui furent le prélude au départ du président Ben Ali, la ministre des affaires étrangères françaises, Michèle Alliot-Marie, proposait à la Tunisie “le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, des forces de sécurité [françaises], afin de permettre de régler des situations sécuritaires de ce type”. “C’est la raison pour laquelle nous proposons effectivement aux deux pays [l’Algérie et la Tunisie] de permettre dans le cadre de nos coopérations d’agir pour que le droit de manifester puisse se faire en même temps que l’assurance de la sécurité.“ View page […]
  15. VIVE LA TUNISIE LIBRE !!!!!!!!!!!! :D
  16. hm
  17. les francais veulent nous faire parvenir que c grace a eux que ce criminel est parti ce n´est pas vrais ne vous laissez pas duper c le peuple tunisien entier qui a forcée ben ali a partir, et rien que le peuple,ni les americains ni les francais, au contraire ils voulaient nous aider et le supporter en envoyant des crs de la france ,mais la pression du peuple était trés forte et ils avaient compris que si un peuple voudras un jour la libertée,le destin doit s´y mettre.
    l´europe et us vont essayer de nous montrer que c grace a eux qu´on est libre .
    non pas de service, alhamdu lillah, ils faut rester vigilant et participer a dementeler le RCD,le parti doit etre dementelée,autrement notre libertée n´est pas complete.
    Les jeunes doivent acceder au pouvoir autrement la libertée n´est pas complete.
    Un peuple unis ne seras jamais vaincu.
  18. et les autorites a l’universite de Toulouse qui ont fabrique la PhD de Mme Leila?
  19. […] Lire la suite au source […]
  20. DSK : Cette relative prospérité est due à une “politique économique (…) saine, [qui] constitue le meilleur modèle à suivre pour de nombreux pays émergents”.
    Si c’est le modèle dont il s’inspirera au cas où il serait président en France, il faut qu’il le dise !
    ERIC RAOULT : c’est qui ?
    FREDERIC MITTERRAND : Plus il se tait, meilleur il est.
    RACHIDA DATI : no comment.
    CHIRAC : “Le premier des droits de l’homme est de manger, d’être soigné et de recevoir une éducation. De ce point de vue, il faut bien reconnaître que la Tunisie est très en avance”.
    Il va être temps, en France, de descendre dans la rue car les “premiers droits de l’homme”, manger, se soigner, recevoir une éducation, y sont gravement en péril.
  21. Je suis scandalisé par certains commentaires
    Facile de critiquer aujourd’hui les positions de la France vis à vis de l’ancien régime Tunisien.Avant les évenements on en a pas entendu beaucoup et pour terminer quand on a honte d’un pays qui vous a adopté on le quitte
  22. […] En savoir plus: Ben Ali et ses amis de la classe politique française […]
  23. Laisser le temps au temps: aujourd’hui tout Ben Ali est à jeter, mais je suppose qu’avec du temps les commentaires reviendront à un peu de sérénité: bien sûr que les libertés n’étaient pas la première valeur du régime, que les gouvernants se sont enrichis, mais l’économie est sensiblement en meilleur état que dans d’autres pays dont ni les régimes, ni les dirigeants ne sont meilleurs et le statut de la femme est bien supérieur à celui de beaucoup de pays de cette région…Une démocratie telle que prônée par nos intelligentsia sera-t-elle à même de relever ce défi ? C’est bien un problème de fonctionnement de l’économie (plus malheureux qu’avant se juge en relatif par rapport à soi-même et pas par rapport à ses voisins moins bien lotis au départ, le fort pourcentage de diplômés qui a contribué à la chute du régime est, paradoxalement, à mettre au crédit de ce régime mais pas le fait qu’ils soient chômeurs) qui a déclenché tout. Alors les commentaires passés de nos politiques de tout bord ne sont bien souvent que la focalisation sur un aspect, et quand on rend visite à quelqu’un, en général, on cherche en quoi lui faire des compliments, et certains étaient possibles et objectivement fondés.
  24. Honte à la France pour son attitude face aux (heureux) événements tunisiens.
    Honte à Alliot Marie.
    D’un côté des tunisiens qui donnent leur vie pour sauver leurs fréres et soeurs du joug d’une tyrannie policiére insupportable.
    De l’autre une pitoyable ministre proposant à la police tunisienne l’aide de la police française et de son savoir faire (sic) ……que dire de plus si ce n’est que ,déjà, ça a du faire beaucoup rire la police tunisienne….
    il y a une semaine j’étais déjà écoeuré par cette phrase mais aujourd’hui que penser?
    La diplomatie de mon pays a été humilié en quelques minuptes par cette femme mais en plus elle est toujours à son poste comme si de rien n’était.
    Quelle image renvoyée de la france à travers le monde?
    Je sui vraiment en colére, je fais partie de la gauche “Gambetta” (chevenementiste/rocardienne/dsk..), donc de la gauche patriote et loin des gauchistes de bas étage (Hamon, Besancenot, mamere..)ou des anti sarkozystes primates.
    Heh bien à ce jour je rejoins officiellement les rangs des anti sarkozystes.
    Je ne suis rien , je ne suis qu’une personne mais je voulais le dire, ça me fait du bien.
    Aux tunisiens je voudrai témoigner mon admiration et mon respect,ils ont commencé à changer leur pays avec leur seul courage et leur sang.
    Vive la Tunisie!
    Vive les tunisiens!
    a ba s Ben Alli et tous ceux qui soutiennent les dictateurs
    un dernier message pour Alliot Marie : ta place est à Djeddah en arabie saoudite!
  25. Ca se passe de commentaires… les complicites etaient evidentes ; comment pourraient-ils justifier leur attitude aux tunisens qui seront aux affaires demain? A voir les realisations de Sarko, E. raoult, Frederic Mitterand, MAM ou Rachida Dati… dans leur mifonctions respectives, on n’ a pas a s’etonner.
    On aimerait les voir reconnaitre leurs egarements et dire comment le gouvernement francais actuel pense aider la Tunisie a se sortir de cette situation et surtout comment la francais sooperera avec la Tunisie nouvelle et democratique.
  26. Il n’est pas besoin d’avoir été adopté par un Pays pour en avoir honte, de plus, on peut très bien être fier d’un pays un temps donné, en avoir honte un autre, et en redevenir fier à nouveau. Que l’on aie honte ou que l’on soit fier de ce Pays, si l’on y vit, que l’on y travaille, on participe à sa vie et à sa richesse, on n’est pas tenu de le quitter. Combien d’employés haïssent leur patron, sans que celui-ci n’aie envie de s’en séparer, car ils sont bénéfiques à l’entreprise ??? Un pays est une vaste entreprise, et ne peut plaire à tous ses acteurs, mais, dès l’instant ou l’échange est équitable, tant économique que dans le comportement et le respect des lois …
  27. Je ne suis jamais allé en Espagne, avec ” franco ”
    après j’ai eu moins de moyens, c’est la vie
    Je ne suis jamais allé en Tunisie, régime dictatorial…
    supporté par les politiques français, vous avez les preuves…
    Je vais prendre” ou ” mes ” espaces ” changement de pays (ben, oui, je suis retraité…) ?
    Pour un prix correct, qui fait une paie incorrecte,
    mais nécessaire à la vie de l’ autochtone…
    Je vais, de ce pas en ” Charente Poitou ”
    future zone libre et autonome…
    ou quelque(s) concussion(s) que ce soi(en)t est/sont
    totalement impossible
    La démocratie, y est totalement limpide…
    (en pays de loire aussi, mais je veux me changer d’air)
  28. Comme dirait l’écrivain Andreï, Makine dans une citation du vieux camarade Léon, Trotski, qui disait ceci :
    “Les censeurs, les idéologues, les inquisiteurs de la pensée libre travestissent la réalité, la badigeonnent de leurs mensonges, traînent en justice ceux qui osent égratigner les façades peinturlurées. Et puis, un jour, on entend un bruit de plus en plus proche, un fracas puissant qu’on ne parvient plus à étouffer : Géante, irrésistible, “LA BOTTE SOUVERAINE DE LA REALITE” vient, s’impose. Le contreplaqué de mensonges s’écroule, le glapissement des folliculaires stipendiés s’étrangle, les mots prostitués retrouvent leur sens. La réalité se dresse devant nous, irréfutable.”
    Bravo au peuple Tunisien qui élève son âme et sa liberté contre un pouvoir clanique outrageant.
    En tant que Français, je suis écoeuré par certains membres du Gouvernement Français et certaines vedettes, stars françaises qui n’ont jamais dénoncé l’insupportable déviance.
    le profit, la cupidité, le vol, l’asservissement; voilà ce que je ressens de ces donneurs et donneuses de leçons de chez nous.
  29. a JMF
    français de souche j’ai honte de mon pays, je fais quoi?
  30. Serait-il possible de confirmer ou d’informer ce câcble de wikileaks dans lequel l’ambassade US en Tunisie fait état de rumeurs selon lesquelles un ambassadeur français se serait fait offrir une villa à Tunis : un bon moyen de se ménager l’amitié du Quai d’Orsay et des officiels français…
  31. #
    MARC POMAREL MARC POMAREL 16/01/11 - 18h56
    C’était le 18 novembre 2008 à Carthage en Tunisie. Ben Ali décorait DSK des insignes de grand officier de l’ordre de la République.Empreint de perspicacité, le directeur du FMI encensait une “politique économique saine” et un “bon exemple à suivre“. “En Tunisie, Les choses continueront de fonctionner correctement.”, déclarait-il publiquement.http://jacquoulecroquant.blog.lemonde.fr/2010/12/16/gauche-classes-populaires-mots-inconnus-pour-dsk/
    Ceci était ma réaction hier 16/01/2011…elle a été publié et c’ est à l’ honneur du Monde car Mr DSK est INTOUCHABLE sur quasiment TOUS les médias…que peut-on attendre des sociaux-démocrates couchés devant le veau d’ or…?
  32. Ce qui me laisse profondément perplexe dans toute cette lamentable ( pour nous, pas pour les Tunesiens) histoire c’est de prendre la mesure du degré de désinformation dont nous avons été victimes . Pour le français lambda la Tunsie c’était quoi? Un petit pays Méditérannéen o% tout semblait se passer pas trop mal et où se rendaient des millions de touristes. Point. Or cette image d’Epinal vient de s’effondrer et nous découvrons….Henri Guaino, manifestement mal dans ses bottes, vient de déclarer “que l’on ne pouvait pas prévoir”… L’on ne pouvait( ou voulait…) peut être pas prévoir mais l’on savait !! Les cables de Wikileaks l’attestent.C’est précisément cette connaissance qui rend le cynisme des hérauts du “Benalisme” complice d’assasinat.Lors de l’eulogie de Chirac il faudra résumer sa carrière par sa vision des droits de l’homme sous le Benalisme.Quant aux autres….des courtisans !Ne tombons pas dans piège de la division gauche/droite :le silence de la gauche fait encore plus mal!
  33. Les Français ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas ! Lire ci-dessous l’article de Florence Beaugé, dans Le Monde du vendredi 2 décembre 2005.
    Baisser de rideau sur la Tunisie. L’éclairage projeté sur le pays du jasmin, à l’occasion du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) du 16 au 18 novembre, s’est éteint. La vie a repris “comme avant” dans ce pays de 10 millions d’habitants. L’opposition tunisienne et les mouvements de défense des libertés ont beau parler de “victoire”, ils n’ont guère de raisons de se réjouir. Le président Ben Ali est sorti renforcé de ce sommet. La communauté internationale, elle, n’en est pas sortie grandie.
    A l’exception de Samuel Schmid, président de la Confédération helvétique, aucun dirigeant n’a rappelé à l’ordre le président tunisien. Aucune délégation n’a claqué la porte pendant les trois jours de travaux. Aucune des ONG présentes non plus. Jamais les libertés n’ont pourtant été autant confisquées qu’avant, pendant, et depuis ce sommet.
    TOTALE IMPUNITÉ
    Fort du soutien des capitales européennes, qui imaginent voir en lui un rempart contre l’islamisme, le président Ben Ali bénéficie d’une totale impunité. Pourtant, les brimades de la vie quotidienne ne cessent de se multiplier. La Ligue tunisienne de défense des droits de l’homme (LTDH) est particulièrement visée. Tous les défenseurs des libertés ont leurs lignes téléphoniques coupées avec l’étranger, de même que leurs liaisons Internet. Certains sont même assiégés à leur domicile. Ali Ben Salem (75 ans), responsable de la LTDH à Bizerte, vit reclus dans son appartement, interdit de visite de ses compatriotes, y compris de ses enfants. Le 25 novembre, il a échappé à un curieux accident : un automobiliste a tenté de l’écraser alors qu’il marchait sur un trottoir.
    A quoi bon signaler tous ces “incidents” ? Qui s’en indigne ? Aucune des chancelleries à Tunis n’ignore ces faits. Le “système Ben Ali” est parfaitement connu de tous, et de longue date. Il a fallu qu’un journaliste français, Christophe Boltanski, soit agressé à Tunis, le 11 novembre, pour qu’enfin Paris sorte de son indifférence. A en croire l’ambassade de France, on peut compter sur “les résultats de l’enquête en cours, diligentée par les Tunisiens”. Imagine-t-on sérieusement le régime de M. Ben Ali reconnaître un jour sa responsabilité dans cette affaire ? Christophe Boltanski, rédacteur à Libération, était filé par des agents en civil au moment de son agression, comme le sont tous les journalistes français en reportage en Tunisie. Pourquoi, dans ce cas, ses “anges gardiens” ne se sont-ils pas portés à son secours ? Pourquoi les agresseurs — s’ils étaient des voleurs comme l’affirment les responsables tunisiens —, ne se sont-ils pas enfuis, juste après s’être emparés de sa sacoche ? Pourquoi ont-ils attendu, pour mettre fin à leur raclée, que l’un d’eux crie à ses trois acolytes “ça suffit !” ?
    Selon toute vraisemblance, l’agression dont a été victime M. Boltanski est une bavure. Des agents zélés ont cru bon de “faire plaisir au patron”, en donnant une correction à un journaliste qui se permettait d’écrire des articles trop critiques. Cet incident rappelle étrangement celui dont a été victime, le 23 mai 2000, dans la banlieue de Tunis, Riad Ben Fadhel. Trois jours après avoir signé dans les colonnes du Monde un point de vue nuancé, mais peu amène pour M. Ben Ali, ce journaliste reconverti dans la communication recevait deux balles, et échappait à la mort de justesse.
    Si le palais de Carthage n’a sans doute pas commandité ces deux “punitions”, il a bel et bien enfanté ce système. Ceux qui créent l’insécurité sont ceux qui sont censés assurer la sécurité. Les agents de la police politique — toujours en civil, ne déclinant jamais leur identité, circulant parfois à bord de véhicules banalisés sans plaque d’immatriculation — ont tous les pouvoirs. Leur mission : assurer la pérennité du parti-Etat, le Rassemblement constitutionnel et démocratique (RCD), qui contrôle et asservit la société par le biais du clientélisme.
    Les Tunisiens qui refusent de se laisser acheter, et, de renoncer à leur citoyenneté, s’exposent à des représailles : coupure du téléphone, suppression de la bourse d’études pour les enfants ou du carnet de santé, mutation à l’autre bout du pays, procès monté de toutes pièces, etc. Tous ne sont pas exposés de la même façon au régime. Certains s’en sortent bien. Ce n’est pas un hasard si la grève de la faim que huit intellectuels viennent d’observer pendant un mois à Tunis rassemblait des avocats, des magistrats et un journaliste. Ceux-là ne peuvent pas exercer leur profession sans se frotter au pouvoir.
    SMIC DÉMOCRATIQUE
    Qu’ont obtenu ces grévistes, au terme de leurs 32 jours de jeûne ? Le “smic démocratique” qu’ils réclamaient — liberté d’association, liberté de la presse et des sites Internet, élargissement des prisonniers politiques — leur a été refusé. Bien sûr, ils peuvent se targuer d’avoir attiré l’attention de la communauté internationale sur le pouvoir tunisien. Mais celle-ci avait-elle réellement besoin qu’on lui ouvre les yeux ? Ne vient-elle pas de démontrer qu’elle était, en réalité, complice de ce pouvoir qui les opprime ?
    Le régime de M. Ben Ali a les mains libres. Tôt ou tard, le président de la LTDH, l’avocat Mokhtar Trifi, sera, une fois encore, roué de coups en plein Tunis. Sa vice-présidente, la journaliste Souhayr Belhassen, également. Il n’y aura personne pour évoquer le pillage du pays par le clan au pouvoir ; personne pour parler des grèves de la faim à répétition des détenus islamistes ou des internautes de Zarzis (sud de la Tunisie), ces jeunes condamnés pour utilisation d’Internet ; personne pour attirer l’attention sur le fait que la population tunisienne se tourne de plus en plus vers la religion, comme un refuge.
    Robert Meynard, le secrétaire général de Reporters sans frontières, n’avait pas tort de qualifier la France et les Nations unies de “faux-culs”, après avoir été refoulé de Tunisie, le 17 novembre. “La France tient un double langage. Elle fait de grandes déclarations à Paris, mais elle veille à ne jamais se fâcher avec le président Ben Ali”, soulignait-il, amer. En barrant toute sa “une” du titre “Magnifique couronnement”, au lendemain du SMSI, le très officiel journal tunisien La Presse disait, pour une fois, l’exacte vérité.
    Les Tunisiens ne sont pas dupes. Leur frustration grandit jusque dans les coins les plus reculés. Il se trouve toujours quelqu’un — un instituteur par exemple — pour s’étonner du soutien apporté par Jacques Chirac à M. Ben Ali. Sourde, aveugle et cynique, la France poursuit sa politique du court terme, et contribue à ce qu’elle croit combattre : la montée de l’islamisme.
    FLORENCE BEAUGÉ
    Article paru dans l’édition du 03.12.05
    tunisie source http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-716689,0.html
  34. […] Le soutien de certaines diasporas africaines à Laurent GBAGBO au moment où le peuple Tunisien vient d’administrer une leçon de maturité politique à tous les obscurantistes de tous bords (officiels français, et assimilés…), amène à s’interroger sur la capacité d’une certaine jeunesse et intelligentsia noire africaine (camerounaise notamment) à s’élever des contingences existentielles et de la culture totalitaire des Hommes forts (au nom du panafricanisme)…pour s’affranchir des dictatures et des tripatouillages constitutionnels. […]
  35. coucou
  36. Dans les bas-fonds, on ne rêve plus vraiment des fonds du FMI.
    Mais au fond, on s’approche toujours plus du RMI.
  37. Le Monde a oublié cette organisation Française de défenseurs des Journalistes emprisonnés dans le Monde (Reporters sans Frontière de Ménard ?)qui avait réussi semble-t-il à venir en aide à ce malheureux journaliste Tunisien ; à sa libération, devant les caméras, il a osé dénoncer CHIRAC (un Monstre de la Françafrique comme chacun le sait !) Eh bien le malheureux Journaliste Tunisien s’était fait vertement engueuler par le petit Chef de cette organisation (était-ce Ménard ?), lui reprochant de ne pas être reconnaissant et méprisant envers le Président d’un pays qui le sauve !
    Et pendant que les Tunisiens osent, les malheureux Malgaches voient revenir(quand il se déplace(des dizaines d’aller-retour à 150.000€) .. en Jet privé, c’est nous, les contribuables français qui payons !), de sa Résidence dorée de Neuilly-sur seine( ce n’est pas l’Arabie Saoudite), leur ancien Bourreau, un assassin, un voleur avec toute sa famille, un dynamiteur des ponts (qu’il a appris de ses maîtres colonialistes vichyssois) de ce pays misérable, un psychopathe qui a terrorisé les Malgaches durant 20, 30 ans, choisi et mis en place par la France au début des Années 70 pour canaliser le révolte des Malgaches et prolonger la domination du PADESM Françafrique que la France Néocolonialiste, comme dans toutes ses anciennes Colonies,imposa depuis la Fin de la 2ième Guerre mondiale !
    Et que dire des Socialistes qui se disent scandalisés ? Strauss-Kahn-Moscovici, Mitterrand, hier le sinistre Marius Moutet !
    C’est un Jugement global du malheur que la Politique colonialiste de la France avec entre autres, les séquelles du Racisme et de la misère, qu’il faut enfin considérer !
  38. oui honte honte honte a alliot marie cést vrais ta place est a djeddahen arabie saoudite démision demision
  39. Et à quand le même droit de fouille pour Cuba et sa clique castriste ? Le dernier en date à embrasser sur les ondes le système politique cubain : le fumeux Mélenchon qui y voit autre chose qu’une très ordinaire et sanguinaire dictature. Cf. “Castro, castrateur de Cuba” surhttp://pamphletaire.blogspot.com/
  40. […] Visit link: Ben Ali et ses amis de la classe politique française […]
  41. Bonjour,
    Je vois beaucoup de critiques à la limite du racisme. Premièrement, certains parlent du gouvernement français et pas de la France, ce sont deux choses différentes. On peut aimer La France et déplorer la médiocrité de son gouvernement…
    Le déclaration de notre ministre des affaires étrangères est l’exemple de cette médiocrité.
    Pour DSK, il parle de l’économie tunisien et seulement de ça.
    La diplomatie américaine s’est montrée bien plus intelligente sur le coup, mieux vaut précipiter le départ de ce dictateur que de laisser dégénérer la situation, laissant ainsi la place à l’islamisme intégriste.
  42. et c’est quand qu’on se révolte en France ? on est en train d’accepter des choses qui ne sont pas acceptables… Bravo aux Tunisiens, quel courage il leur a fallu.
    http://lafeepourquoipas.blog.free.fr/
  43. Après Ben Ali, il faudra chers amis de Tunisie nous aider à nous débarrasser de la clique à Sarko …zy. Merci d’avance.
  44. Ah ! que c’était beau ce cri du coeur de Michelle ! M’est avis que Ben Ali n’envoyait pas que des roses aux partis politiques français .
    C’est quand même touchant tout ces dictateurs africains qui soutiennent la démocratie française .
  45. c’est à désespérer de la politique
  46. regarder le video de laccusation de zine elabidin benali icic maintenat exclusive
  47. C’est facile de tirer sur l’ambulance de celui qui a perdu. Beaucoup de gens ont felicite Ben Ali et ont eu tort. Mais avant tout, enormement de gens n’en avaient rien a faire qu’il martyrise son peuple. S’il y avait un peu plus de monde pour se preoccuper des pays comme la Tunisie ou l’Egypte (au lieu de s’exciter sur le Venezuela par exemple) peut-etre que le pouvoir francais n’aurait pas le choix que de les condamner. Je ne vois pas pourquoi Sarko s’emeuvrait de la situation des droits de l’homme en Tunisie puisqu’il les fait reculer en France.
  48. .Pauvre France quelle représentation politique et image tu donnes au monde face à la situation tunisienne une politique opportuniste d’intérêt .Il est temps de nettoyer les écuries d’augias tant nos politiques puent la honte
  49. Et, maintenant, vous comptez mettre en place des tribunaux révolutionnaires, avec guillotine sur la place de la Concorde, pour faire payer ces “cochons” de politiques qui étaient “amis” de Benali?
    Au secours!
    La Terreur ça vous dit quelque chose?
    Nan, pour la plupart des commentateurs ici, la révolution française, ça n’a été que la chute de la Bastille et deux têtes (roi+reine) guillotinées, rien de bien méchant, peace & love!
    A tous ceux qui réclament une nouvelle révolution en France pour faire partir Sarko et sa bande, en appelant notamment l’aide des Tunisiens, vous avez pas l’impression d’être un chouïa à côté de vos pompes? Les Tunisiens se sont NOTAMMENT soulevés pour que soit rapidement mis en place un systême d’élections pluralistes véritablement démocratique. En France, les élections générales sont régulièrement organisées suivant des délais courts (5, 6 voire 7 ans jusqu’en 2002), et vu le nombre de partis politiques en lice, on ne peut pas dire que notre système n’est pas pluraliste.
    Après si vous trouvez que le peuple ne vote pas bien, cad comme vous le souhaitez, c’est qu’au fond, vous voulez la mise en place d’une dictature, plutôt que la véritable démocratie…
    Arrêtez d’essayer de manier des concepts que vous ne maitrisez pas, vous les salissez.
  50. Serait-il possible que les complaisances politiques de certains hommes et femmes politiques à l’endroit de dictateurs, ne soient motivés qu’en raison d’une grande facilité à obtenir auprès de ces derniers; des fonds de financement pour leur partis politiques?
    Est-il vraiment raisonnable de se poser la question?
  51. demain , ils seront au meme bbq , apres demain reunis dans un rhiad , dans 1 mois avec une caisse de dom perignon . ils vont nous baiser toute notre existence , faite du fric maintenant et vite , car eux, ils vont tout faire pour vous tuer a petit feu.
    sarko , ben machin ,pasqua,ali baba, pontificus,
    weort alifrick ,
  52. L’indiference à l’égard du régime politique n’a pas été l’eexclusive du monde politique français.
    Comme avocat, j’ai plaidé devant un Tribunal administratif composé de jeunes magistrats émuolus de l’ENA.J’ai pourtant bien lu le numéro laudateur du Monde sur cette “grande Ecole”.Je suis sans dout tombé sur de malheureuses exception.
    Je défendais un Tunisien don t l’hotel sur les Iles de K.
    avait été spolié par le belle famille de Ben ali et qui avait été en outre condamné par coutumace par un tribunal tunisien por atteinta à la sureté de l”Etat”
    L’expulsion ordonnée par le prefet de..;a été confirmée par le tribunal administratif et sa Cour d’Apppel
    Aujourd’ui, qui est le plus blamable des juges français ou tunisien,du prefet français…ou du pauvre avocat qui a échoué lamentablement
    F.Avocat en Savoie
  53. ministres francais votre travail n;est pas de donner des conseils aux tunisiens mais de les aider du mieux possible et recuperez leur or
  54. Quand ces gens là (ils n’y sont pas tous) comprendront-il qu’on ne veut plus, qu’on ne PEUT plus les voir?
  55. Tous des pourris, de haut en bas et de droite à gauche. Comment en est-on arrivé là? Et on laisse faire en regardant… comme un troupeau d’agneaux qu’on mène à l’abattoir. Pauvre France, pauvre Europe!
  56. Et que dire de la femme fatale de Tunisie, Leila Ben Ali Trabelsi, la Imelda Marcos arabe ?
  57. Nos hommes politiques ont été minables
    ils ont été nuls et archi nuls
    il ont tjrs avancé l’argument islamiste, paranoïa mais, personne n’est dupe!
    Comme pour la chute du mur de Berlin, ils n’ont rien vu venir, ils n’ont toujours rien compris ces énarques, on n’a pas de mal à comprendre combien ils sont nuls!! bcp devraient “DEGAGER”…
  58. Par pitié que la police française garde sa police Tsarkosienne !
  59. pour repondre a Jicehel la france ce pays qui ma adopter maintient toujours la dictature dans mon pays d origine
    Si tu veus que je la quitte il faudrait que la france arrete de tirrer les ficelles pour que mon pays devienne democratique.
    a chaque fois que vous parler des islamistes ou de comunistes ou je ne sais quoi il i a toujours quelquechose qui vous jaine.salut l ami!
  60. Ces discours publics, ces déclarations, ces tapis rouges doivent être vus pour ce qu’ils sont: du cinéma pour la galerie.
    Les dirigeants déjà gavés de fric et bien plus payés que ce que leur travail mérite, veulent en plus se “faire voir”, se faire décorer, autour de repas hors de prix et de suites princières. Il en fut ainsi dans toutes les cours de tous les rois où on ne fiche finalement pas grand chose.
    Changer de dirigeants vraiment se constatera s’ils ne font plus ce cirque. Mais ce cirque n’existe que parce qu’il y a des télés, des revues, des spectateurs qui en redemandent!Alors ce sera difficile d’en sortir.
  61. ben ali donne beaucoup d’argent et finance beaucoup de compagnes de politiques français d’ou leur position favorable a l’ANCIEN president tunisien
  62. je crois tous les tunisiens qui sont en france peuvent apporter beaucoup pour contribuer à la démocratie dans leur pays d’origine notamment ceux qui on fait des études pour un progrès social et même les jeunes des citées on un avenir prometteur car il y a tout à faire le geste de patriotisme est aussi important en l’honneur pour tous ceux qui ont laissé leur vie,ne jamais oublié d’où on viens c’est un pays magnifique est maintenant faite…..
  63. bravo Alliot Marie, le venin qui sort de votre bouche contribue à faire monter l’indignation des secondaires et la colère des primaires
  64. Je pense que la reaction de nos dirigeants est la représentation exacte de l’hypocrisie exercée dans notre politique etrangère, notament en ce qui concerne les ex-colonies française. Je trouve ses déclarations mensongères et sournoises, reflètant quels seront les enjeux politiques proches ; nous devons trouver un équilibre geopolitique global, pour cela, il est indispensable que l’enssemble des gouvernements prennent des décisions radicales en ce qui concerne leurs modes de fonctionnement. Par ailleur, nous Citoyens, nous nous devons d’agir et de reagir concernant les enjeux futurs de nos sociétés.Il apparait certain que nous sommes dans une periode clé de l’histoire, les systèmes politiques “neoimpérialiste” montrent clairement leurs faiblesses. Les leçons du passé n’ont pas été retenues, les gouvernements ont été passifs, dans l’interêt financier général. Mais il ne nous faudra jamais oublier que depuis la nuit des temps, les peuples souffrent pendant qu’une minorités d’hommes profitent aisément de la corruption présente depuis toujours dans nos systèmes politiques. Il est donc temps de remettre en questions toutes les valeurs démocratiques que nous croyons défendre. Il y a bien longtemps que ce mot s’est écarté de ses racines… Les évenements actuels dans plusieurs pays arabes seront extremement importants pour l’avenir de ces pays. Si et seulement si la classe politique devient la représentation exacte du peuple défendant des valeurs humanistes, l’horison de jours meilleurs pourra être visible… pablo de la vega
  65. A quand le tour de la france?
    A quand une vraie démocratie?
    A quand une vraie justice?
  66. La position du Parti Socialiste fut bien tardive aussi.
    L’interview de B. Delanoë ce vendredi était effrayante.
    Il serait utile que le PS fasse l’apprentissage d’une vision politique avant les prochaines élections (françaises et non algériennes qui sont dans six mois) !
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