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E. do REGO

IL EXISTE MILLE MANIERES DE MENTIR, MAIS UNE SEULE DE DIRE LA VERITE.

Le Mensonge peut courir un an, la vérité le rattrape en un jour, dit le sage Haoussa .

Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.










Friday, December 18, 2009

An easygoing President



P120309PS-0605 by The White House.
President Barack Obama fist-bumps custodian Lawrence Lipscomb in the Eisenhower Executive Office Building following the opening session of the White House Forum on Jobs and Economic Growth, Dec. 3, 2009. (Official White House Photo by Pete Souza)
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Monday, December 14, 2009

Le dernier tournant pour l'Afrique

L’Afrique peut elle rater un dernier tournant crucial pour son développement ? Ce qui se dessine semble l’indiquer à moins que les pays donateurs ne révisent les termes de l’accord de compensation sur l’environnement. Beaucoup de dirigeants africains salivent déjà à l’idée de l’arrivée de fonds destinés à compenser les préjudices subis par les Africains suite aux abus de l’environnement par les nations industrialisées. Je ne veux pas insister sur le fait que ces nations cherchent à se donner bonne conscience après des années d’abus inconsidérés combinées avec un refus d’admettre les conséquences de leurs actes. Quand la Chine refuse de signer tout protocole contraignant pour préserver une croissance économique à deux chiffres, en oubliant que les conséquences l’affecteront plus que les autres pays vu qu’elle est le pays le plus peuplé au monde. D’aucun auraient cru que la Chine serait aux avant postes de ce combat planétaire mais que nenni. A se demander, qui profiterait de cette belle croissance si la majorité des chinois ne sont plus là, sous les eaux, cancéreux, affamés ou frappés par d’autres pathologies tout aussi meurtrières…mais bon ceci est un autre débat car l’égoïsme de l’homme n’est plus à prouver.

De plus, l’Afrique a enfin réussi à atteindre le chiffre fatidique de un milliard d’habitants et à quel prix ? Combien de vies perdues aux maladies (SIDA, Paludisme, maladies tropicales diverses,…) et toujours ce manque chronique de dirigeants capables pour le continent le plus affligé dans l’histoire de l’humanité.

Revenons-en à nos moutons ou à nos fonds pour ainsi dire car si les donateurs commettent l’erreur de donner un chèque en blanc aux dirigeants africains qui sont soit corrompus ou alors mal entourés, ce serait à mon avis le coup de grâce pour un continent africain déjà à genoux. A l’instar de Mamadou Tandja, le despote en devenir du Niger, la grande majorité des dirigeants africains ne savent pas déjà pas quitter le pouvoir en suivant les formes et autres lois constituantes donc leur faire miroiter un pactole ne devrait guère arranger les choses. Si ces fonds ne sont pas gérés correctement, le continent, surtout au sud du Sahara, risque d’être victimes d’une nouvelle vague de despotes de tout acabit.

Ma suggestion serait que les donateurs verrouillent les fonds de manière à faire les transferts de technologies de manière effective, c’est à dire sur le terrain avec une priorité pour des projets clés en main. La construction d’usines de fabrication de panneaux solaires par exemple pourrait être entreprise avec l’envoi de spécialistes pour encadrer la construction des usines ainsi que la fabrication des panneaux. Sachant que ces projets actuellement ne rapportent rien à l’Afrique vu que tous les éléments sont importés et demeurent toujours insignifiants en volume. La production d’énergie pourrait être liée à des usines de biogaz qui retraiterait la majeure partie des ordures ménagères et marchandes. Vu que la majeure partie des grandes villes africaines font face aux problèmes des ordures, cette technologie serait la bienvenue. Des centres de recyclage régionaux pourraient aussi être mis sur pied et contribuer aux nettoyages des plages africaines qui sont parmi les plus sales et les plus pollués au monde. Voici trois exemples parmi des milliers qui pourraient améliorer la vie et l’environnement en Afrique.

Ce procédé permettrait aux économies africaines de faire coup double en obtenant un réel transfert de technologies tout en formant des techniciens hautement qualifiés, évitant des détournements massifs des fonds investis. Vu que les pays africains, spécialement ceux au sud du Sahara sortent chaque année des milliers de diplômés qui viennent s’ajouter aux bataillons existants de chômeurs. Parmi ces derniers, on pourrait extraire des groupes à former en rapport avec les activités à développer dans le cadre de ces programmes. Un des secteurs sensibles serait le rappel des milliers d’agronomes africains (locaux et expatriés), expatriés qui souvent végètent en Occident et qui pourrait enfin réellement et effectivement servir le continent africain avec leur expertise qui est cruciale.

Voila à mon humble avis une des voies et moyens d’utiliser de façon efficace les fonds débloqués par les « généreux donateurs ».


E.Davis
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Saturday, December 12, 2009

Esclavage: Sarkozy et les médias ont la mémoire courte

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Thursday, December 10, 2009

Obama defends US wars as he accepts peace prize


Barack Obama and Michelle Obama arrive at the ceremonyOSLO – President Barack Obama entered the pantheon of Nobel Peace Prize winners Thursday with humble words, acknowledging his own few accomplishments while delivering a robust defense of war and promising to use the prestigious award to "reach for the world that ought to be."

A wartime president honored for peace, Obama became the first sitting U.S. president in 90 years and the third ever to win the prize — some say prematurely. In this damp, chilly Nordic capital to pick it up, he and his wife, Michelle, whirled through a day filled with Nobel pomp and ceremony.

Barack Obama at the Nobel ceremony


And yet Obama was staying here only about 24 hours and skipping the traditional second day of festivities. This miffed some in Norway but reflects a White House that sees little value in extra pictures of the president, his poll numbers dropping at home, taking an overseas victory lap while thousands of U.S. troops prepare to go off to war and millions of Americans remain jobless.

Just nine days after ordering 30,000 more U.S. troops into battle in Afghanistan, Obama delivered a Nobel acceptance speech that he saw as a treatise on war's use and prevention. He crafted much of the address himself and the scholarly remarks — at about 4,000 words — were nearly twice as long as his inaugural address.

In them, Obama refused to renounce war for his nation or under his leadership, saying defiantly that "I face the world as it is" and that he is obliged to protect and defend the United States.

"A nonviolent movement could not have halted Hitler's armies. Negotiations cannot convince al-Qaida's leaders to lay down their arms," Obama said. "To say that force is sometimes necessary is not a call to cynicism, it is a recognition of history."

The president laid out the circumstances where war is justified — in self-defense, to come to the aid of an invaded nation and on humanitarian grounds, such as when civilians are slaughtered by their own government or a civil war threatens to engulf an entire region.

"The belief that peace is desirable is rarely enough to achieve it," he said.

He also spoke bluntly of the cost of war, saying of the Afghanistan buildup he just ordered that "some will kill, some will be killed."

"No matter how justified, war promises human tragedy," he said.

Barack Obama is presented with medal by Nobel chairman Thorbjoern Jagland

But he also stressed the need to fight war according to "rules of conduct" that reject torture and other methods. And he emphasized the need to exhaust alternatives to violence, using diplomatic outreach and sanctions with teeth to confront nations such as Iran or North Korea that defy international demands to halt their nuclear programs or those such as Sudan, Congo or Burma that brutalize their citizens.

"Let us reach for the world that ought to be," Obama said. "We can understand that there will be war, and still strive for peace."

In awarding the prize to Obama, the Nobel panel cited his call for a world free of nuclear weapons, for a more engaged U.S. role in combating global warming, for his support of the United Nations and multilateral diplomacy and for broadly capturing the attention of the world and giving its people "hope."

But the Nobel committee made its announcement in October when he wasn't even nine months on the job, recognizing his aspirations more than his achievements.

Mr Obama with member of Nobel Committee

Echoing the surprise that seemed the most common reaction to his win, Obama started his 36-minute speech by saying that others who have done more and suffered more may better deserve the honor.

"I am at the beginning, and not the end, of my labors on the world stage," the president said. "Compared to some of the giants of history who have received this prize ... my accomplishments are slight."

The list of Nobel peace laureates over the last 100 years includes transformative figures and giants of the world stage. They include heroes of the president, such as the Rev. Martin Luther King Jr., Nelson Mandela and others he has long admired, like George Marshall, who launched a postwar recovery plan for Europe.

Earlier, Obama had said that the criticism might recede if he advances some of his goals. But, he added, proving doubters wrong is "not really my concern."

"If I'm not successful, then all the praise in the world won't disguise that fact," he said.

The timing of the award ceremonies, coming so soon after Obama's Afghanistan announcement, lent inspiration to peace activists.

The president's motorcade arrived at Oslo's high-rise government complex for Obama's meeting with Norwegian Prime Minister Jens Stoltenberg as a few dozen anti-war protesters gathered behind wire fences nearby. Dressed in black hoods and waving banners, the demonstrators banged drums and chanted anti-war slogans. "The Afghan people are paying the price," some shouted.

Greenpeace and anti-war activists planned larger demonstrations later that were expected to draw several thousand people. Protesters have plastered posters around the city, featuring an Obama campaign poster altered with skepticism to say, "Change?"

The debate at home over his Afghanistan decision also followed the president here. He told reporters that that the July 2011 date he set for the U.S. withdrawal fromAfghanistan to begin will not slip — but that the pace of the full drawdown will be gradual and conditions-based.

"We're not going to see some sharp cliff, some precipitous drawdown," Obama said.

Obama's first stop in Oslo was the Norwegian Nobel Institute, where the Nobel committee meets to make its decisions. After signing the guest book, Obama told reporters he had penned thanks to the committee and noted the pictures of former winners filling the wall, many of whom gave "voice to the voiceless."

In the evening, Obama is expected to wave to a torchlight procession from his hotel balcony and stroll with Norwegian royalty to a dinner banquet. He will offer comments a second time there and cap his brisk jaunt to Europe.

The president and his wife, Michelle, arrived here in the morning, coming off Air Force One holding hands and smiling. Having left Washington Wednesday night, Obama was due back by midday Friday.

The Nobel honor comes with a $1.4 million prize. The White House says Obama will give that to charities but has not yet decided which ones.

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Associated Press writers Matti Huuhtanen and Ian MacDougall contributed to this report.

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Tuesday, December 08, 2009

Union Africaine : Une perte de temps ?

Union Africaine : Une perte de temps ?

L’Afrique semble avoir abdiqué en ce qui concerne les droits de l’homme, la bonne gouvernance et pratiquement tous les autres domaines clés qui font la base du développement. Ce développement devenu plus qu’hypothétique pour l’Afrique. Le premier niveau de défaillance est surement celui des droits de l’homme ou rien ne va plus. La Guinée ou récemment on a massacré et violé des centaines de personnes désarmées et ou règne les prémices du chaos, l’Union Africaine peine à a se faire entendre ou respecter car s’étant décrédibilisé sur de nombreux autres terrains tels que celui du Darfour. Après un silence coupable de nombreuses années, il a fallu une campagne médiatique des Occidentaux comme on les appelle, notamment Américains pour que l’UA ne daigne même réagir sur ce conflit. Et quelle réaction ? S’opposer au Procureur du Tribunal International soit disant qu’il ne s’intéresse qu’aux Africains, mais ou on lieu les crimes contre l’humanité les plus odieux de nos jours sinon en Afrique (Rwanda, Ouganda, Darfour, RDC,…et j’en passe). Alors protéger Omar El Béchir au nom de la solidarité africaine est simplement débile surtout quand l’UA est incapable de mettre sur place sa force d’interposition (AMIS) dont le peu d’effectif sur place se fait tirer comme des lapins par les milices armées par El Béchir Ce même, El Béchir, qui précisons le, à l’instar de nombreux berbères, a une attitude méprisante envers les Africains au sud du Sahara, le silence des leaders Maghrébins à propos de ce conflit en dit long sur ce qu’ils en pensent. Les Africains au travers de l’UA exhibent une solidarité béate qui frôle l’idiotie car s’opposer au Procureur du TPI enlève la seule pression viable contre El Béchir et son régime. Seule l’UA n’a pas remarqué que les seules concessions obtenues d’El Béchir sont advenues après que le Procureur ait lancé sa procédure. La soit disante diplomatie silencieuse de l’UA n’a rien donné comme d’habitude et serait encore au point mort sans la menace du procureur. L’Afrique veut son indépendance et ses pays passent leur temps à clamer leur souveraineté mais il faut les Occidentaux pour obtenir justice sur le continent africain pour des crimes commis par des africains sur d’autres africains. Et pendant ce temps l’UA n’arrive pas à faire plier la Mauritanie, le Zimbabwe, la Guinée et j’en passeSur tous les aspects de l’intégration, l’Afrique stagne sinon recule, il n’existe aucune force militaire régionale intégrée qui serait une garantie sérieuse de sécurité et qui aiderait à réduire sinon éliminer les coups d’états et autres coup de force.

L’une des preuves les plus flagrantes de l’échec des tentatives démocratiques à l’Occidentale en Afrique est sans doute la Tunisie. Malgré un régime policier et autocratique, le Président Ben Ali a transformé son pays en améliorant les acquis de l’ère Bourguiba. Son pays est un modèle de réussite économique et sociale et cela aux dépens de la soit disante démocratie dont de nombreux pays parlent mais en ignorent les concepts de base. Qu’a rapporté la démocratie au reste de l’Afrique subsaharienne ou à part de rares exemples (Afrique du Sud, Botswana) il n’y a jamais de combinaison démocratique avec un développement économique. Il est peut être temps d’admettre que la démocratie à l’Occidentale est une utopie en Afrique surtout noire ou les rares pays au semblant démocratiques voient émerger des dizaines voire des centaines de partis politiques sans que cela ne change le contexte économique ou politique des pays. Qu’un illuminé comme le Capitaine Dadis Camara trouve encore des supporters après le carnage du 28 septembre prouve si besoin l’était encore que les élites africaines ont échoués lamentablement en tombant souvent dans un tribalisme socio ethnico religieux. La Cote d’Ivoire est là pour nous rappeler ce que l’ethnocentrisme peut apporter comme catastrophe en tuant la poule aux œufs d’or mais les dirigeants africains ne semblent pas profiter des erreurs de leurs prédécesseurs, au contraire, ils les perpétuent souvent en les aggravant. Pourquoi la RDC expulse des Angolais and vice versa quand on connait l’histoire commune de ces deux pays. Le Nigeria et le Ghana s’étaient adonnés à ce répugnant exercice il y a quelques années et la Lybie le continue de façon sélective et on ose nous parler des états unis d’Afrique. Mais de qui se moque t on ? Est-ce le moyen le plus sur de construire cet unité o combien hypothétique surtout quand on permet aux anciennes puissances colonisatrices ou autres de peser dans la vie politique et économique des pays. L’influence de la France reste cruciale dans son ancien pré carré car les dirigeants préfèrent l’appui de la France à celui de leur voisins d’à coté. Aucune des organisations régionales à l’instar de l’UA ne fonctionne vraiment à l’exception peut être de la SADEC que tire la puissante Afrique du Sud. L’UA ne fonctionnera jamais sans que ces unités régionales ne se mettent à opérer plus ou moins correctement. Pourquoi faut il la France pour régler la crise guinéenne alors que le puissant Nigeria combiné au Ghana et avec la Cote d’Ivoire et dans une moindre mesure le Sénégal pourrait décider de ce règlement soit politique ou au besoin militairement. Tous ces pays ont besoin directement ou indirectement que la Guinée reste stable. La même solution pourrait être appliquée à l’interminable conflit Somalien ou la combinaison entre le Kenya et l’Ethiopie avec l’appui logistique des Américains et ou de l’UE pourrait permettre à ce pays de revivre en se sortant du joug sanglant des milices. Plus que jamais l’Afrique a besoin de cette unité tant réclamée, chantée mais malheureusement les intérêts d’une minorité continue de spolier la majorité des Africains qui le plus souvent vivent sans eau courante, électricité, soins médicaux et j’en passe. Malgré la production des matières premières essentielles et une aptitude certaine pour la production d’énergie renouvelable, l’Afrique reste à la traine à la grande joie des bailleurs de fonds (Banque Mondiale, Fonds Monétaire International, Société Financière Internationale, etc.…) qui continuent d’exister à ces dépends.

Si l’Union Africaine est incapable de se faire respecter au Niger ou un ex militaire a cédé la place à un despote, il y a du souci à se faire. Il semble que seul l’archipel des Comores ait eu à subir les foudres de l’Union Africaine et encore avec le soutien intéressé de la France qui n’avait sans doute pas envie de faire triompher ses soldats sans gloire. En Mauritanie, la France la force à entériner un coup d’état au nom de la lutte contre le terrorisme, pourquoi n’avoir pas permis à la Mauritanie de se sortir de cette crise politique qui aurait permis à cette démocratie bourgeonnante de grandir mais que nenni.

Au final, l’UA exhibe au niveau continental toutes les failles et fissures qui caractérisent les relations entres les pays africains. La CEMAC, le plus mauvais élève de l’intégration régionale est incapable d’instaurer une réelle union douanière sans parler du pillage de la BEAC (Banque des Etats de l’Afrique Centrale). Que dire de la CEDEAO (Confédération des Etats de qui à part quelques actions discrètes, reste largement incapable de régler des problèmes effectifs (Guinée, Guinée Bissau, Cote d’Ivoire, etc.…). L’UMA (Union du Maghreb Arabe) est essentiellement mort née à cause du différent entre l’Algérie et le Maroc, sans parler de la rivalité sous jacente entre l’Egypte et l’Algérie et j’en passe. Bref, l’Afrique reste un panier à crabes ou aucun problème ne se règle vraiment donc nul ne doit être surpris par l’ineptie qui ronge l’UA. Il est dommage de dire aux Africains qu’il ne faut rien attendre de cette organisation qui est juste un autre de ces organismes « budgétivores » comme on les appelle. L’Afrique a réussi une seule réelle prouesse, faire de René Dumont[1] un prophète. Quel gâchis !!!


E.Davis


[1] Auteur de « L’Afrique noire est mal partie ». 1962

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Wednesday, December 02, 2009

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